Irritation game
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le 17 août 2024
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C'est blindé de grosses ficelles. Mais en échange, les rires/ sourires nerveux de Josh Harnett et les touches d'humour décalé sont tellement communicatifs ! Pendant tout le film, j'étais excité et nerveux.
Y'en a qui diront que le scénario c'est du foutage de gueule, je voi juste un le réal qui prend un plaisir très naïf à mettre en scène cette perte de contrôle quitte à s'enlever des barrières qui peuvent altérer la solidité de l'intrigue.
En plus la peur de la perte de contrôle, est je pense quelque chose d'assez universel, c'est une bonne idée pour impliquer le spectateur envers ce personnage.
À chaud, la seconde partie je ne sais pas trop quoi en penser, d'un côté il lâche les chevaux, de l'autre il s'éloigne du concept initial.
J'ajouterai, que je pense avoir cerné quelque chose sur la réception publique de ses films.
On le sait, son humour décalé n'a pas toujours était bien reçu, (je pense notamment à Walhberg qui parle à une plante, scène qui justifie à elle seule sur internet qu'on traite Phénomènes de nanar)
Selon moi, ça peut s'expliquer par l'introduction de ses films. Là où Trap (tout le côté absurde autour des fans etc.) ou encore The Visit, dès le début présente ce ton ambiguë. Dans Phénomènes, c'est complètement l'inverse avec cette scène (brillante) de suicide qui fait froid dans le dos.
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Créée
le 10 août 2024
Critique lue 44 fois
3 j'aime
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