Le fils de Lawrence Kasdan rend hommage à Dewey Cox, génie qui a inspiré Johnny Cash, Dylan, les Beatles, Bowie et Ghostface Killah... Possédé par le démon du folk, John C. Reilly joue de la guitare comme de la machette.

Des éclairs de génie à la "Zoolander" (la rehab et ce "Dewey, i'm cut in half pretty bad") et du bancal comme toute bonne prod' Apatow...
Marius
7
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les losers magnifiques

Créée

le 9 oct. 2010

Critique lue 706 fois

4 j'aime

Marius

Écrit par

Critique lue 706 fois

4

D'autres avis sur Walk Hard: The Dewey Cox Story

Walk Hard: The Dewey Cox Story
Torpenn
5

Coxsucker blues

Le fils de Lawrence Kasdan écrit avec Judd Apatow la vie fictive de Dewey Cox, grosse star musicale dont la carrière s'étends des 50's aux années 90's ou presque... Le fiston réalise et Judd produit,...

le 28 oct. 2012

17 j'aime

21

Walk Hard: The Dewey Cox Story
Spoof
7

Critique de Walk Hard: The Dewey Cox Story par Spoof

Cette Apatow prod commence comme une belle parodie de "Walk the line", le biopic sur Johnny Cash, pour finalement se transformer en gros délire sur l'histoire du rock aux us par l'intermédiaire de...

le 23 juin 2010

5 j'aime

Walk Hard: The Dewey Cox Story
Marius
7

Cox sucker

Le fils de Lawrence Kasdan rend hommage à Dewey Cox, génie qui a inspiré Johnny Cash, Dylan, les Beatles, Bowie et Ghostface Killah... Possédé par le démon du folk, John C. Reilly joue de la guitare...

le 9 oct. 2010

4 j'aime

Du même critique

The Dark Knight Rises
Marius
4

Bane à ordures

Jusqu'alors DKR signifiait, pour le geek averti, Dark Knight Returns. Une oeuvre majeure dans la bibliothèque de Batman. Quelque chose d'adulte et de complexe. Tout ce que n'est pas TDKR. Qui n'est...

le 19 juil. 2012

121 j'aime

130

The Artist
Marius
1

La blague américaine

En terrain conquis. Le mec de "la Classe américaine" à Cannes? Ça clignotait de partout: ce film est fait pour moi. 5h34 plus tard (en réalité, le film est un poil moins long), j'avais l'impression...

le 15 mai 2011

106 j'aime

66

Melancholia
Marius
10

Melancholia and the infinite sadness

Bon, Lars von Hitler à 8 heures du mat, c'était pas gagné (qu'est-ce qu'on ferait pas pour voir des films danois avant les autres)... Mais se réveiller devant un astre sombre, sombrer avec ces jeunes...

le 18 mai 2011

105 j'aime

23