Lorsqu'on ne veut pas voir, lorsqu'on ne veut pas entendre...
Trame bien ficelée, on est otage du regard que Kat porte sur sa mère, son père, leur couple.
Son inconscient lui parle, elle n'arrive pas à l'entendre.
Les idées font leur chemin, l'éloignement la rapproche de la vérité et grande surprise!
Les victimes, ne sont pas des victimes à part entière.
Les bourreaux deviennent -peut être- des bourreaux par la force des circonstances.
Ce n'est pas la peine d'essayer d'aplatir la complexité de l'être humain.
Super film, chapeau!
Créée
le 16 oct. 2016
Critique lue 166 fois
D'autres avis sur White Bird
Quatre ans après son dernier chef d’œuvre, un trip hystérique parano mémorable du nom de Kaboom, Gregg Araki présente cette année son onzième film : White Bird in a Blizzard, sobrement renommé White...
Par
le 30 août 2014
27 j'aime
3
Gregg Araki du haut de ses 55 ans, est un éternel sale gosse. Ses films sont d'une folie inimaginable, à tel point que Kaboom demeurera toujours une référence du film "what's the fuck". Mais notre...
le 16 oct. 2014
23 j'aime
16
S’il est globalement de belle tenue, il manque toutefois un petit quelque chose à White Bird pour se faire plus marquant. Un éclair d’inspiration dans sa mise en scène, une narration moins...
Par
le 12 janv. 2015
21 j'aime
Du même critique
Lorsque la phrase "so long, my son" se superpose à l'image en annonçant que l'histoire touchait à sa fin, personne ne se lève pour quitter la salle. Plus de 3 heures se sont écoulés et la seule...
Par
le 15 août 2019
1 j'aime
Passionnée de poésie, une maitresse découvre en l'un de ces petits élèves un talent inouï. Cet enfant, par des moments, comme habité, déclame des poèmes très beaux et poignants. Cette femme morne,...
Par
le 8 août 2021
Je croyais avoir raté un très beau film. J'ai du mal à le finir. Rien ne colle, le jeu des acteurs, les personnages, la trame. C'est tellement mauvais que l'on s'attend à un retournement...
Par
le 7 août 2019
