En entrant dans l’histoire de Wrong, on débarque sur une autre planête, celle de Quentin Dupieux, un monde absurde au premier abord, mais où chaque scène, chaque image est à sa place. Personnellement j’ai rigolé franchement (sans doute l’effet Eric Judor). Et j’ai trouvé pas mal de sens, avec des scènes riches en symboles. Car l’histoire de base, il faut l’avouer, est bien déroutante.
Pour accrocher à ce film, il faut être capable de refuser de monter dans le bus du cinéma classique, sortir de sa zone de confort, dépasser ses à-prioris, être capable de prendre le bus suivant, le bus tridimensionnel, celui qui permet d’accéder à un second dégré de lecture.
critique publiée sur https://boulimiedeculture.wordpress.com/2019/05/22/wrong/