Yeti par Sintaquendetoa

Je ne vais pas vous expliquez le pourquoi du comment j'ai pu voir ce film... c'est trop compliqué. Mais voilà, dès les premieres minutes j'ai sentie que j'allais visionner un film hors norme, au dessus de tout les nanars horrifiques que j'ai pu voir et force est de constaté que j'avais raison. Mais avant de poursuivre voici un petit ( mais alors vraiment petit ) résumé de la chose:

Un avion avec un son bord plein de djeunz cons horipilants s'écrase en pleine montagne. Les survivants vont alors affronter le froid, la faim, les conflits personnels et également l'abominable homme des neiges et quand je dis abo(minable) je pese mes mots car j'ai rarement autant rigoler devant une créature aussi laide.

Les films mettant en scene le yéti ne sont pas nombreux à ma connaissance. Pour tout vous avouez, le seul métrage que je connais n'est autre que l'épisode de Tintin au TIbet... c'est dire à quel point je mettais beaucoup d'espoir dans ce film... je déconne bien sur!
Revenons à notre yéti. Il y aurait presque une these ethnologique à faire sur lui. Par exemple on est en droit de se poser la question la suivante: comment fait-il pour faire des bons de 10 metres de haut, de piquer des sprints de malades dans certaines scenes alors que dans d'autres scènes il peine à faire un pas dans la neige!! La réponse est simple, la magie de effets vraiment tres spéciaux à frapper. Et à la simple vision d'un yéti en CGI on ne peut que rigoler. C'est simple prener une video de la playstation premiere du nom et intégrer la dans un film, vous voyez la catastrophe. Et encore je n'ai pas mentionné la physique de la bete. En gros, c'est un cousin éloigné du grinch mais en tout blanc ( bah ouai, c'est son camouflage dans la neige... ), c'est donc un grinch albinos qui traque nos survivants campé par des acteurs totalement out et qui cachetonnent comme des malades! Aucun n'est à sauvé, la palme revenant à l'actrice qui se prend pour une scream queen quand son boyfriend se fait arracher le coeur ( le plan est jouissif de nulité! ). En parlant de démembrement, c'est le seul lot de consolation pour nous autres, pauvre spectateur tombé dans les griffes d'un film totalement pourris du début à la fin. La palme du n'importe est décerné à la scène de pseudo canibalisme que les survivants operent sur les morts du crash ( tordant ) avec un soupçon d'émotion.
RIen n'est à sauver dans ce film, vite vue ( 1h 29 quand meme ), vite oublié.