Il n'y a pas grand à dire qui n'a été dit. L'expérience jeu de rôle poussait à un niveau jamais vu. Tout ça sans être un monde ouvert, preuve que c'est loin d'être un absolu et qu'il s'agirait de commencer à faire autre chose. N'étant pas fan d'exploration, on ne s'en plaindra pas.
La quantité de travail est faramineuse. C'est effrayant de voir tous ce à quoi Larian a pensé. Un plaisir aussi vieux que le jeuxvidéo lui-même consiste à vouloir le casser. Aller là où les développeurs ne voulaient qu'on aille. Dans le cas de BG3, faut chercher bien longtemps avant trouvé tellement le jeu est faisable dans n'importe quel sens sans que ça n'enlève rien à la logique, voir que ça provoque des situations nouvelles.
Les possibilités d'avancement, dans les combat, dans les relations de l'équipe, dans les péripéties. Ici, plus que jamais, on comprend qu'on est pas obligé de toujours tout faire dans un jeu, surtout un jeu de rôle. C'est à nous d'avancer comme on le veut, en faisant ce que l'on veut. De toute façon, on peut toujours refaire l'aventure un personnage totalement différemment dans son aspect, sa personnalité et ses capacité tout en vivant aussi la même aventure mais de façon totalement différente.
On va en parler pendant encore longtemps de ce Baldur's Gate III.