Did I ever tell you the definition of geniality ?
Durant une vingtaine d'heures de jeu, j'ai exploré de fond en comble une ville à l'ambiance mémorable, bavé devant une direction artistique incroyable, apprécié une inventivité de tous les instants, et côtoyé des personnages extraordinaires... Les Lutece, Booker, Elizabeth, Anna, Comstock, Fitzroy, Songbird...
Derrière un gameplay intelligent et bien pensé, même si manquant de temps en temps de punch, malgré des ennemis parfois répétitifs ou encore certains tonics peu pertinents, je me suis laissé entraîner dans une incroyable aventure.
Mais de là à justifier l'engouement extra-extraordinaire autour du jeu, je restais un tantinet perplexe.
Et puis j'ai vu. Et puis j'ai compris. Mon Dieu. Si vous pensiez que Bioshock premier du nom vous avait manipulé, vous allez tomber de haut. Du génie à l'état pur.
(Et oui, geniality se dit, c'est un équivalent de genius. Et non, je ne le savais pas non plus avant d'écrire cette critique)