Avec sa fin en forme de joli de "Mind-fuck", Bioshock Infinite est une expérience de jeu assez unique. Si le gameplay s'inscrit dans le prolongement direct des deux précédents volets, Infinite quitte les fonds marins de Rapture pour la cité aérienne de Columbia, et le dépaysement est total. On prend un vrai plaisir à suivre le parcours très mouvementé de Booker et Elizabeth, une compagnonne de route qui en plus d'être émouvante et d'une rare beauté, se révèle être également plutôt utile dans les moments difficiles. Mais l'attrait principal n'en reste pas moins cette histoire complétement folle qui demandera au moins un deuxième passage pour en saisir tous les niveaux de lecture, bref une merveille.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Top 10 Jeux vidéo, Les meilleurs scénarios de jeux vidéo et Les meilleures musiques de jeux vidéo
Créée
le 7 oct. 2020
Critique lue 84 fois
1 j'aime
D'autres avis sur BioShock Infinite
MICRO SPOILERS MAIS SPOILERS QUAND MEME. Ne pas lire si vous n'avez pas fini le jeu. Bon, 24 heures après l'avoir fini, après moult cogitationnements, j'ose le 9. Culotté, le mec. Pourtant, je...
Par
le 9 avr. 2013
91 j'aime
9
Non, Votre Honneur au risque de vous décevoir, je ne suis pas un de ces illuminés qui hurlait au prochain "GOTY" ni au messie suite à l'annonce du jeu. Pas même après le visionnage de trailers où...
Par
le 7 avr. 2013
83 j'aime
14
Exit Rapture, nous voilà à Columbia, une ville flottante de 1912 sous un soleil brillant. Ce changement de contexte peut être déroutant à priori pour ceux qui ont connu la ville sous-marine, mais au...
Par
le 31 mars 2013
61 j'aime
7
Du même critique
Tandis que le papounet de Totoro entretient depuis plusieurs années le suspense autour d’une hypothétique retraite, annoncée puis annulée à moult reprises, ne boudons pas notre plaisir de voir le...
Par
le 23 août 2023
5 j'aime
Situé à mi-chemin entre le manga et l’album illustré, sorti tout droit de l’imagination foisonnante de notre dieu à tous, Hayao Miyazaki, il nous aura fallu patienter 40 ans pour que Le Voyage de...
Par
le 2 janv. 2024
4 j'aime
Après l’échec commercial de The Northman, censé incarner “le Gladiator de la nouvelle génération”, Robert Eggers était prévenu, son cinéma austère et ampoulé allait devoir puiser dans la folie du...
Par
il y a 3 jours
4 j'aime
4
