Je volette, je volette, j'endors, j'explore et je volette. Je vole aussi, je chaparde, je pille, je soutire. Mince, on m'a repéré ! du coup, je charge une ancienne sauvegarde. Et je recommence parce que c'est dans l'infiltration qu'est le bonheur dans Dishonored, ne nous voilons pas. Je l'ai fini trop rapidement la première fois parce que je ne savais pas et du coup, comme les armes et pouvoirs létaux sont plus nombreux que ceux vous évitant de faire des victimes, on détourne des portails électriques, on joue de l'arbalète ou du pistolet et on pose des mines. Mais les fins de tableaux ont un goût amer parce qu'on voit les deux cases "aucun ennemi tué" et "jamais repéré" toujours désespérément vides.
Pour faire simple, Dishonored est un superbe jeu. Des graphismes au top et un gameplay formidable. C'est un jeu ou il faut avoir tous ses sens en alerte. Ecouter les conversation, surveiller les va-et-viens, lire sur les murs pour trouver des codes de coffres forts. Bref, fouiner sans arrêt et profiter des décors. Cela donne plus de corps au jeu et rallonge sa durée de vie car c'est vrai, on a vite fait le tour des pouvoirs et des modifications d'armes et les missions sont assez courtes.
Heureusement, il y a des DLC avec quelques nouveautés...
Au final, Dishonored reste un jeu inventif, beau et agréable à jouer.