**Oui, « re-fini ». Pourquoi « re » ? Sérieusement, je vous aime beaucoup, mais votre esprit de déduction est aussi aiguisé qu’une quille de bowling (c’est-à-dire pas énormément). « Re-fini » parce que je l’ai déjà terminé autrefois, donc. En même temps, s’il a un regain de popularité aujourd’hui grâce à sa ressortie sur PC, Dragon’s Dogma est loin d’être un jeu très récent. Tout d’abord sorti en 2012 sur PS360, puis déjà ressorti un an plus tard (2013, votre incompétence me fatigue) sur ces mêmes supports mais cette fois-ci accompagné de son extension Dark Arisen, ce n’est que maintenant que les joueurs peuvent le découvrir !
Pourquoi vous en parler alors ? Déjà parce que je ne suis pas obligé de parler de jeux uniquement récents, c’est idiot comme réaction, je ne sais pas ce que vous avez aujourd’hui ? Et ensuite parce que Dragon’s Dogma est un titre qui mérite de petites éloges et si j’ai tendance à souvent changer d’avis en refaisant un jeu ou lorsque le temps passe, refaire celui-ci m’a rappelé pourquoi j’avais aimé et c’est un sentiment très agréable.**
Dragon’s Dogma nous raconte l’histoire de l’Insurgé (« Arisen » dans la langue de Shakespeare et de Bill Nighty) qui vit sa vie tranquilou dans un village côtier lorsqu’un beau jour un Dragon débarque, fout un peu la merde dans le dit village, et s’empare du cœur de notre héros. Non, il ne force pas notre personnage à tomber amoureux de lui, il s’empare littéralement de son cœur. A ce stade-là de l’histoire, on peut donc légitimement se dire « Ouais, bon, c’était cool…un peu court mais cool » mais en réalité c’est loin d’être terminé. En effet, notre Arisen n’est pas mort et a même plutôt l’air de bien se porter (essayer d’arracher votre cœur, vous verrez, vous le vivrez relativement mal). Mais surtout, il est prêt à partir à l’aventure en relevant le défi lancé par le Dragon et ce grâce à l’aide des pions !
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