J'aime présenter Dusk de cette manière: un FPS d'aujourd'hui avec les graphismes d'hier et le gameplay de demain. C'est pas tout à fait vrai, mais ça reste une bonne manière d'introduire ce jeu.
S'inspirant de Doom, Blood et Quake, saints pères fondateurs des FPS, Dusk nous plonge dans un univers sombre où nous explorerons des niveaux variés plus ou moins creepy tout en affrontant des ennemis variés plus ou moins creepy.
Le jeu est divisé en trois épisodes avec chacun leur thème: Le premier (qui est le moins bon et le plus classique) avec des fermes et la campagne, le second avec un thème industriel et le troisième avec une cité antique lovecraftienne. Les niveaux sont, pour faire simple, constitués de phases d'exploration oppressantes amenant à de grands combats en arène (pas mal comme Doom, que ce soit la version 1993 ou 2016), le tout accompagné par une super bande son. La galerie d'ennemis et les décors divers (surtout pour les épisodes 2 et 3) contribuent à rendre chaque niveau unique et chaque combat intéressant.
Sachez aussi qu'il y a une histoire, mais qui n'est jamais raconté directement et qui est sujette à interprétations et théories, à la manière d'Inside.
Bref, si vous aimez les FPS rétros, les survival horror et les environnements mystérieux, Dusk devrait vous plaire. Pour moi, qui aime les trois, c'est un coup de cœur.