Ha, Tony Vercetti... La classe, la cool attitude...
GTA Vice City est bien le seul de la série des Gran Theft Auto qui m'aura tenu autant accroché (les 100h ont été largement dépassées). L'avantage de ce type de jeu sur un monde -presque- ouvert, c'est bien sûr la liberté d'action, la liberté de choisir quoi faire de son personnage. Bien sûr, l'on n'échappe pas à l'obligation d'effectuer tous les mêmes missions, mais en dehors de ça, on fait pratiquement tout ce qu'on veut.
Au départ, je trouvais ce jeu génial. Mais lorsque j'ai pu acheter ce fameux super appartement géant qui possède un héliport sur le toit, le jeu est devenu incontournable. Mais quel bonheur que d'évoluer la tête dans les nuages et de dominer la ville tout en chantant à tue-tête les musiques de la radio Emotions ! Toutes ces petites perles des musiques à consonnances seventies (même si elles sont plus récente que cette époque) étaient tellement prenantes que je ne remarquais que trop tard que j'avais pu assister au lever Et au coucher du soleil tout en faisant... et bien rien, hormis voler tranquillement dans le ciel à admirer les nuages, les couleurs que leur donnait l'astre solaire. Puis j'estimais que mon hélico était bien trop terne, et décidais donc de me mettre en quête de localiser un commissariat pour chiper celui des flics ! Pas assez bien ? Ok, je filais donc voler celui des militaires... tout en prenant un sérieux arsenal avec moi pour éviter de mourir avant même de le trouver.
Ballades, vol (de voitures ou dans les airs), cascades, action, fusillades, belles baraques, belles femmes, motos (quel pied !!!), belles bagnoles, missions variées et accrocheuses bien que redondantes pour la plupart, ce jeu a incontestablement marqué au fer rouge et indélébile ma vie vidéoludique. Si on peut considérer Vice City comme vidéoludique...
Bon d'accord, ce jeu est vraiment bourrin et ne parait vraiment pas vidéoludique puisqu'il s'agit plutôt d'un défouloir pour nerfs à vifs... Mais pourtant, qu'est-ce que c'était bon !