L'épisode le plus fête foraine de la saga.
Mais que se rappelle t'on de nos soirées auto-tamponneuses ?
Encore une fois, ce Yakuza repousse les limites de la production value. Teeeellement de scènes cinématiques, teeeellement de contenus, teeeellement de chorégraphies, de bruitages, de personnages.
On retrouve tous les poncifs de la série avec un petit dépaysement nommé Hawai.
J'ai bien aimé la première moitié, l'amorce de l'intrigue, la nouvelle carte, l'équipe Ichiban Kiryu.
Malheureusement j'ai par la suite été assez écoeuré par le contenu qui ne cesse de grandir et qui dessert le scénario, pour carrément mettre le focus sur Kiryu et son passé.
Ca se ressent aussi en terme de game design où le jeu prend la forme de deux équipes miroirs dont les intrigues vont se structurer d'exactement la même manière.
Les principaux jeux annexes ne m'ont pas intéressés, et j'ai regretté un manque d'équilibrage. Même si la composante JRPG a clairement été améliorée grâce à de subtiles jeux de placement. Le grind est malheureusement obligatoire et pas très intéressant (dans des donjons moribonds).
Allez s'il vous plait on se recentre sur des histoires plus cadrées et qui se regardent un peu moins le nombril.
Fini en 47:42:26.