Autant le dire tout de suite : je suis beaucoup trop trouillarde pour jouer moi-même à ce genre de jeu, c'est donc l'amoureux qui s'en est chargé. Je pourrais avoir beaucoup de choses à y redire, à ce nouvel opus : répétition des séquences de run qui pètent pas mal l'immersion quand on les recommence en boucle à partir du même point de sauvegarde, gameplay limité, "ta gueule l'orchestre !", scénario fumé voire incompréhensible et capillotracté si on ne lit pas le comic qui fait le lien avec le premier jeu...
Mais en tant que fan de mythologie judéo-chrétienne j'y ai vu des petits clins d'oeil qui me paraissent trop gros pour être fortuits (s'ils le sont : Red Barrels, je vous conspue. S'ils ne le sont pas : vous êtes des fucking génies et aussi des fucking bâtards de ne pas avoir exploité ça à fond). Notamment (attention SPOILER léger ici) sur les antagonistes principaux du héros, qui pour moi incarnent évidemment Mort et Conquête/Pestilence (selon les versions) dans les Cavaliers de l'Apocalypse.
Et étant donné que c'est un jeu d'horreur, j'en attendais qu'il soit flippant, j'ai flippé, j'en demandais pas spécialement plus de toute façon.