La technique à suivre pour les suites
Voilà l'exemple à suivre: une suite qui se détourne des défauts du premier volet et qui inove d'autant plus.
Après un premier jeux un peu trop court (2h pour le finir) et un poil redondant, Valve sort ce petit bijoux. Les voilà creusant l'univers, le rapporchant (avec délice) de Half-Life, rajoutant une histoire riche, une diégèse complexe et un nouveau personnage. Portal 2 est une réussite totale à mon sens: on ne s'ennuie pas, on découvre sans cesse de nouvelles choses et c'est beau. Putain que c'est chouette un jeux pareil. Les puristes à la mort-moi-la-console-en-pixel diront que c'est trop facile, qu'il y a trop d'éléments scriptés et patati et patata. M'en fous. Voilà un jeu qui arrive à mélanger fond et forme avec une virtuosité que je retrouve qu'au cinéma ou que dans quelque jeux (SuperMeatBoy). Le joueur à enfin droit à un scénario complexe, riche et cool. Nan mais vous avez écouter les dialogues ? Sans rire ? Et pour ce qui est de la difficulté, mes amis, tentez les médailles d'or...
De plus le jeu fourni un mode Co-op ingénieux, un générateur de salle, etc...
Si avec ça il y a encore des hypsters à la noix de muscade qui viennent me dire que les jeux vidéos artistiques sont que dans l'univers indépendant, je leur met ma souris dans la tronche.