Spyro 2, le retour

Spyro is back ! Après un premier épisode très convaincant bien qu’un poil court, on retrouve notre dragon préféré pour une nouvelle aventure !
Ici, point de dragon à sauver, mais un nouveau monde ! Par magie (ou par un truc qui est peut être expliqué dans le jeu mais en fait on s’en fout complètement), Spyro est envoyé dans le monde d’Avalar, conquis par le maléfique Ripto.
Il doit récupérer des orbes pour continuer à avancer à travers les différents niveaux.

Fini donc la recherche de dragons gelés cachés ça et la dans les niveaux. Ici les orbes sont donnés par les différents personnages qui peuplent les niveaux, lorsqu’on réalise pour eux différents défis. Le majeur problème de ce jeu vient de l’inégalité de ces défis. Si certains sont bien pensés et vraiment sympas à jouer, certains sont juste inintéressants, voire extrêmement frustrants dans certains cas ( la faute souvent à une camera assez capricieuse)

Niveau gameplay donc, la direction de notre dragon est quasi-similaire, et donc toujours aussi instinctive. Quelques nouvelles fonctionnalités sont tout de même ajoutées, comme la possibilité de grimper sur certaines parois, mais ces actions sont débloquées tardivement, ce qui oblige à retraverser les niveaux où elles étaient nécessaires pour obtenir les orbes manquants, ce qui m’a quand même parfois gonflé.

Les niveaux sont toujours variés et sympas, et la bande son est aussi cool, même si les thèmes sont moins marquants que dans le premier opus.
Gros point positif, le jeu se permet parfois quelques pointes d’humour assez bienvenues.
Par contre, avec seulement 3 mondes et 64 orbes au total à récupérer, la durée de vie est assez faible, peut être même inférieure à celle du premier. En tout cas, ne pas compter plus d’une dizaine d’heure (peut être plus pour un enfant découvrant le jeu, bien sûr).
Un niveau bonus vient encore féliciter les joueurs ayant fini à 100%, cela fait toujours plaisir !

Au final, un jeu toujours sympathique, mais qui ne m’a pas procuré le même coup de cœur que le premier.
Maintenant, direction l’épisode 3, mon préféré dans mon souvenir !