Un bon p'tit Indé
Ce Teslagrad est un Metroidvania tout ce qu'il y a de plus classique mais avec une jolie réalisation et des puzzles basées sur le moteur physique. En effet, on se balade dans un monde en 2D ouvert...
Par
le 7 mars 2016
3 j'aime
Ce Teslagrad est un Metroidvania tout ce qu'il y a de plus classique mais avec une jolie réalisation et des puzzles basées sur le moteur physique.
En effet, on se balade dans un monde en 2D ouvert mais dans lequel les zones ne sont accessibles que lorsqu'on a récupéré les bons items.
L'histoire est narrée sans dialogue : on incarne un jeune garçon parti récupérer des parchemins (au moins 15 sur les 36 pour accéder au boss final) afin de terrasser l'horrible roi malfaisant.
Techniquement, comme je le disais, c'est superbe, le dessin est magnifique et bien mis en valeur, les animations sont très détaillées que ce soit pour le héros ou les ennemis. Le moteur UNITY est bien utilisé pour les graphismes ou le moteur physique (la musique ne joue pas un rôle prépondérant ici, elle est sobre et bien en arrière-plan).
Mais tout cela n'est, dans le fond, pas très original : tout a été vu, que ce soit les énigmes à base de gravité, le magnétisme (rouge et bleu pour les 2 pôles) pour attirer ou repousser des pièces, des ennemis ou le personnage,...
Les boss sont sympathiques mais requiert trop de par cœur et de Die And Retry à mon goût (mention spéciale pour le dernier boss qui semble imbattable au début mais quand on connaît ses 3 ou 4 patterns, il ne représente plus d'intérêt : il suffit de réussir à exécuter les contre patterns et c'est terminé). Enfin, la maniabilité n'est pas exempte de reproches : détailler les animations c'est bien mais quand ça entrave la réussite du joueur, c'est mal ! Des sauts ratés, des esquives qui ne fonctionnent pas toujours à cause d'un trop grand latence,... Ça gâche l'expérience de jeu.
Dans l'ensemble, je ne regrette pas que Teslagrad ait fait partie des jeux PS+ mais sans ça, je ne l'aurai pas fait malgré la bonne réputation dont j'avais entendu parler.
Petit jeu, petit platine ?
J'avais lu ça et là que le platine s'obtenait en 5h mais je pense avoir pris le double :o
En même temps, c'est difficile pour moi d'estimer le temps car j'ai arrêté d'y jouer pendant 2 mois pour cause de réparation de Vita nécessaire puis à nouveau 2 mois pour cause de Xeodrifter et P4 Dancing All Night
Mais je me suis surtout pas mal perdu dans ce grand château.
Concernant les trophées, sur papier, il n'y a rien de plus simple puisqu'il "suffit" de trouver les 36 scrolls sans même devoir finir le jeu (ce qui est dommage même si le boss final n'est pas très folichon avec ses patterns à apprendre par coeur).
Rien d'extraordinairement difficile si on arrive à bien manier la physique et les puzzles à base de magnétisme.
Conseil : attendez d'avoir tous les items avant de vous lancer dans la recherche intensive des scrolls, ce sera plus facile
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes jeux "100%" et "Platines" et Les meilleurs jeux de la PlayStation 4 (PS4)
Créée
le 7 mars 2016
Critique lue 558 fois
3 j'aime
D'autres avis sur Teslagrad
Ce Teslagrad est un Metroidvania tout ce qu'il y a de plus classique mais avec une jolie réalisation et des puzzles basées sur le moteur physique. En effet, on se balade dans un monde en 2D ouvert...
Par
le 7 mars 2016
3 j'aime
Puzzle-game/aventure...."Teslagrad" nous plonge dans un univers onirique où science et mythe s'entremêlent...appuyé par une direction artistique extraordinaire aussi bien visuellement (style...
Par
le 20 mai 2021
1 j'aime
Commercialisé durant la vague de démocratisation du jeu vidéo indépendant, lors de la génération PS3/Xbox 360, Teslagrad est un digne représentant du jeu de plate-forme à budget modeste, tentant de...
le 3 janv. 2020
1 j'aime
Du même critique
Ayant prévu d'aller voir le film, je me suis repassé l'original de 1990. J'ai d'ailleurs écrit sa critique Par conséquent, les différences et les ressemblances m'ont sauté au visage. Et je pense que...
Par
le 16 août 2012
70 j'aime
21
J'ai toujours été un fan de cette série (bon, surtout les premier et troisième :o). Je dois avouer que le film est marqué "années 80" (cigarette à l'aéroport, arme dans l'avion, les vêtements,...)...
Par
le 23 nov. 2010
63 j'aime
13
Berlin Est, 1984. Georg Dreyman est dramaturge et vit avec son actrice principale, Crista-Maria. Officiellement, Georg est fidèle au Parti mais le ministre de la culture le fait quand même surveiller...
Par
le 24 mai 2011
57 j'aime
5