Dans le temps, on achetait un tableau, une œuvre artistique qui semblait vous parler, vous inspirer à trouver refuge dans votre maison…
Quand j’ai vu les premières images de « The Deer God », en 2015, j’ai eu ce sentiment, l’envie de poser cette image quelque part chez moi, et me perdre dans le décors… C’est une des forces offertes par le jeu-vidéo à mes yeux, pouvoir se perdre dans une œuvre d’art et chercher un sens à sa présence une fois plongé à l’intérieur…
J'espérais donc avec beaucoup d'ardeur que ce jeu débarque sur un support adapté à mon équipement, mais à cette époque, l'équipe de Press-Start le découvrait en version alpha sur PC et une campagne Kick Starter devait lui donner sa chance, peut-être sur 3DS ou sur WiiU ?
J’aimais beaucoup l’ambiance qui me semblait offrir les mêmes sensations si spéciales que m'avait offert la découverte de Knytt Stories… il y a déjà si longtemps.
J'étais donc très heureux de l'ajouter à ma collection numérique lors de l'achat de ma Nintendo Switch, près de 5 ans plus tard et j’ai finalement été très rapidement coincé, frustré et déçu !
Je n’y ai pas compris grand chose et je restais donc très vite bloqué au début de l’aventure…
C’est évidemment un des risques dans ces jeux où l’on est pas assisté en permanence !