Que dire lorsqu’on est face à un chef d’œuvre.
Je pourrais m’enthousiasmer de la maturité et de l’intelligence de l’écriture. Je pourrais m’étendre des heures sur les graphismes magnifiques et le monde énorme et immersif.
Je n’ai malheureusement ni le temps, ni l’énergie d’écrire un pamphlet dévoué à tous ce que j’aime dans ce jeux. Je me contenterai donc d’énumérer les quelques petites choses qui ne fonctionnent pas.
L’animation du saut est ignoble. Le bateau se gère comme une voiture sans aucune sensation de navigation. Le poney est une mule têtue et saoule comme toute la Pologne.
Peu importe ces 3 comédons, The Witcher 3 a le visage d’un ange qui, même longtemps après les 150 heures que dura ma partie, continuera de me hanter.