Oui oui, The Witness m'aura apporté son lot de moments d'épiphanie. Mais tout comme son premier né Braid, il y a moment où point trop n'en faut. L'île est un délice à explorer, il y a la même quiétude quant à un Everybody gone to the rapture mais à ceci prêt que les insulaires seraient figés dans le béton. Je ne peux nier que le jeu offre un spectacle formidable et invite à l'introspection tant le propos porte à l'universalité. Mais bordel, 667 puzzles, à tracer des traits à n'en plus finir, y a de quoi devenir maboule. C'est tout à son honneur tant l'obsession qu'il créé arrive à nous habiter même après avoir joué.