Uplink est certainement un jeu indépendant que j’ai chopé dans un Humble Bundle. Comme 90% de mes indé’ en fait. Le hasard l’a désigné pour débuter cette liste de chroniques (1 heure de jeu max pour juger). Alors, c’est parti, top chrono ! Ah zut, c’est une chronique écrite. Top… écriture… je crois...
Uplink est une simulation de hacker. C’est badass comme genre, hein ?! Bon, hacker hollywoodien (les développeurs le revendiquent et ils ont certainement raison) mais hacker quand même. Le but est d’enchaîner les missions de piratage sans se faire gauler pour récupérer des documents, les supprimer, transférer de l’argent, tripatouiller des trucs dans des bases de données, bref des trucs trop cools à la Watch_Dogs mais en plus réaliste (à la fois dans la façon et aussi concrètement puisqu’Uplink est sorti lui). On a pour ça un arsenal : casseur de mots de passe, copieur de fichiers (important comme fonctionnalité), nettoyeur de logs et j’en passe. Tout se fait sous pression puisqu’il faut rapidement effectuer ses basses besognes pour pouvoir se déconnecter avant de se faire repérer.
Les premières minutes sont sympathiques et ça donne envie de continuer pour faire des casses numériques spectaculaires, et puis voilà… J’avais envie d’aimer Uplink mais je n’ai pas réussi. J’ai insisté, je suis même aller lire tout un tas de tests élogieux après pour me motiver. Mais dans ma nouvelle optique de nettoyer mon backlog, j’ai dû me résigner. Le problème c’est que toutes les missions se ressemblent et demandent quasiment la même procédure. En 1 heure, j’ai fait des dizaines de missions identiques. Une fois il faut copier tel fichier, une fois tel autre et oh, grosse variante, cette fois-ci, il faut le supprimer.
Tout devient peut-être fabuleux plus loin dans le jeu mais j’en doute. Un bon concept, bien mis en scène (le jeu est particulièrement immersif) mais mal exploité ou mal dilué. Ça fait tout de même un jeu de moins dans mon backlog. Plus que… Eh merde !