2015 : Watchlist 50

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Un film de plus de 3 heures.

Vu le 18/04. Un des plus longs films que j'ai jamais vus, profité d'une longue soirée pour pouvoir le visionner d'une seule traite. J'avais déjà vu les "7 Mercenaires" auparavant, du coup l'histoire m'était connue et il n'y a donc aucune surprise (vu qu'il n'y a globalement rien de bien différent entre la version américaine et celle-ci).
Ce qui saute aux yeux ici, ce sont les décors somptueux, du village des fermiers à la ville, mais aussi les décors naturels... Kurosawa filme magnifiquement la nature et les hommes, captant leur mouvement avec une technique irréprochable. La photographie et la lumière sont superbes, et, visuellement, le film est une vraie prouesse.
Sinon, le film mêle plein de genres : film en costumes, aventure, film sur l'amitié, la vengeance, le recrutement d'une équipe... En même temps en 3h30 de film c'est bien le moins qu'on soit en droit d'attendre ! Chaque samourai a sa personnalité, même si, dans les sept, 4 sortent du lot : le chef, le jeune, le maître d'armes et Toshirô Mifune. Les 3 autres sont par ailleurs assez interchangeables.
Globalement, ça passe, il y a de l'action, pas d'action, et je ne me suis pas ennuyé pendant la durée du film.
Par contre, quelques reproches, qui font que j'ai probablement tendance à préférer légèrement le remake américain. Déjà, c'est insupportable pour un point : ça chiale et ça beugle de partout, c'est incessant et vraiment pénible (Mifune est pénible à sauter partout, mais des fois ça passe vraiment bien et l'on se demande du coup si c'est un escroc ou un génie...). La bataille est trop longue, confuse. Je préfère la première partie, celle consacrée au recrutement de l'équipe.

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Un classique du cinéma.

Vu le 13/07. Le retour des attentes démesurées avec la vision tant espérée, tant attendue, de "Laura", où je découvrais pour la toute première fois la divine Gene Tierney... Alors, évidemment, il y a une légère déception.
Cela étant, le film est très bon. Preminger, qui a obtenu le droit de remplacer Mamoulian après d'âpres négociations, crée ici une atmosphère de film noir très réussie, appuyée par une photographie superbe et un thème musical inoubliable. Les comédiens sont tous bons, avec dans le lot une Gene Tierney à la beauté envoûtante.

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L'adaptation d'un livre.

Vu le 11/09. Découverte d'un film inspiré par l'un des mes romans préférés, un technicolor des grands jours avec de beaux décors naturels et une profusion de décors colorés aux teintes chatoyantes. Gene Kelly en d'Artagnan gesticule dans tous les sens, enchaînant les cascades et les duels.
Evidemment, adapter une telle œuvre en un peu plus de deux heures est une tâche pour le moins ardue, et l'on perd un peu de la richesse du livre de Dumas. Cela dit, le film s'en tire très honorablement : entre duels d'épée vitaminés et les interventions de Lana Turner, qui campe Milady de Winter, l'on ne s'ennuie pas un instant.
L'histoire est correctement restituée, les acteurs honorables (surtout Lana Turner, en fait, Richelieu est un peu moins bon), et le technicolor est bien exploité - même si, les décors font très faux, et que l'ensemble a mal vieilli. Je regrette simplement que ma médiathèque n'ait pas pu me proposer un meilleur DVD, celui-ci étant abîmé j'ai été privé de quelques scènes...

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Un film sorti cette année.

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Un film avec un chiffre dans le titre (titre original).

Vu le 13/04. De grosses attentes pour ce film de part son casting (Charles Farrell, mais surtout Janet Gaynor), et son réalisateur, dont j'avais déjà adoré "Street Angel" avec la même équipe.
Légère déception au final. Le film est toujours aussi bien construit, par comparaison par exemple avec "Shanghai Express" que j'ai vu la veille, il n'y a ici pas de souci de rythme, vraiment aucun problème dans l'enchaînement des scènes, la maîtrise de Borzage parle encore. Lumière et musique font à nouveau un travail remarquable pour l'immersion dans cette belle histoire.
Le souci - un peu retrouvé dans "L'Aurore" - c'est le personnage de Janet Gaynor, trop "simplette", qui tombe amoureuse de Farrell en reprisant ses chemises et en lui préparant son café. On pourra arguer des heures en disant que c'est normal, qu'elle - qui n'a jamais connu que la haine et la vindicte d'une sœur abusive - reporte son affection sur la seule personne à la traiter décemment. Et qu'elle cherche en retour à lui être agréable de la seule manière qu'elle connaisse. Néanmoins, l'histoire a prouvé que même dans les années 20, les réalisateurs faisaient déjà des rôles de femmes un peu plus fortes, et cette vision du couple "idyllique" me plaît moins.

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Un film réalisé avant l'âge de 30 ans.

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Un film avec des personnages non-humains (bon, je triche un peu...).

Vu le 23/06 au cinéma en 3D IMAX. Bon alors celui-là, je l'attendais avec une certaine impatience... je suis un inconditionnel des deux premiers Jurassic Park, alors forcément, quand les premières notes résonnent dans la salle à la découverte du parc, ça émeut.
Sinon, je l'ai vu dans la salle qui possède le plus grand écran du monde (vraiment immense), autant rentabiliser son séjour à Sydney...
Le film partait assez mal avec une accumulation de clichés tous plus ridicules et convenus les uns que les autres : le petit génie insupportable, son grand frère con, les parents qui veulent divorcer, l'administratrice qui a le nez dans le guidon et ne sait parler que par chiffres, et, mon préféré, le mec de l'armée américaine qui est un peu maléfique et qui VEUT utiliser des dinosaures comme arme vivante (quelle idée GENIALE, monsieur... je crois que son sergent instructeur a été un peu trop dur avec lui).
Heureusement, ça s'arrange pas mal quand les dinosaures sont lâchés dans la nature et commencent à foutre le bordel. J'aurais aimé un plus gros carnage (bon sang, on a un parc ENTIER avec des MILLIERS de visiteurs, mais il ne doit y avoir que quelques dizaines de morts au maximum...), mais ça reste assez jouissif pour qui veut voir des dinosaures (et c'est mon cas).
Et puis, à un moment, on se rend compte que Bryce Dallas Howard est peut-être la plus belle femme du monde, et à partir de là tout est devenu franchement sympa.

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Un film comique.

Vu le 12/06. Encore beaucoup, beaucoup d'attentes pour ce Lubitsch, pas déçues cette fois-ci. Une véritable pépite portée par les extraordinaires Carole Lombard (dont le rôle peut - hypothèse de ma part - avoir inspiré Carice van Houten dans "Black Book"), et Jack Benny. Dans cet univers de faux-semblants permanents, l'on suit une troupe de théâtre polonaise mêlée à la résistance à Varsovie, et qui va se retrouver entraînée dans une histoire bien complexe. Le film est extrêmement savoureux, tous les acteurs sont au top, l'on ne s'ennuie pas un instant tant les scènes les plus absurdes, loufoques et comiques s'enchaînent à toute vitesse. Une merveille.

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Un film réalisé par une femme.

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Un film d'horreur.

Vu le 23/08. En termes d'ambiance et d'esthétique, "Alien" est un film très impressionnant, qui me semble préfigurer le génie absolu de la direction artistique de "Blade Runner", la plus belle de l'histoire du cinéma. Lorsque l'on se perd dans le méandre des couloirs du Nostromo, dans ces ambiances bleutées, c'est magnifique. L'ambiance anxiogène, dès l'arrivée de ce fameux alien, est également super bien rendue. Après, ce n'est pas spécialement le genre de film qui va me marquer, je suis allergique aux personnages débiles, et les flashes stroboscopiques anti-épileptiques qui surviennent vers la fin du film m'ont franchement gavé. Cela dit, ça reste un film efficace et agréable.

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Un film avec un titre en un seul mot.

Vu le 13/05. Je poursuis ma découverte de l'œuvre du grand Lubitsch - dont j'étais certain, à l'avance, d'adorer le cinéma -, avec "Ninotchka", qui est également le premier film dans lequel je découvre la 'Divine' Garbo.
Nous sommes à Paris, et nous faisons la connaissance de trois agents soviétiques envoyés négocier la vente de bijoux ayant jadis été la propriété d'une aristocrate russe. Toutefois, les trois braves communistes sont rapidement convertis aux charmes du capitalisme et de la capitale française par un rusé renard. Celui-ci va à son tour tomber sous le charme de la plus belle représentante des Soviets...
"Ninotchka" est un chef d'œuvre, une succession de scènes hilarantes, de dialogues brillants et de situations comiques. Greta Garbo, superbe, par ailleurs, y campe le personnage éponyme, qui est la plus grande réussite du film. Melvyn Douglas n'est toujours pas très beau, mais s'en sort mieux que dans "Angel" (avec Lubitsch, il a donc fini à la fois avec Dietrich et Garbo, quel chanceux...).
Les seconds rôles russes sont géniaux, il y a de l'humour et de l'émotion, et une satire aussi gentillette que bien vue de l'URSS. Excellent !

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Un film composé de court-métrages.

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Un film ni français, ni américain, ni coréen, ni japonais.

Vu le 01/05. Quelques plans magnifiques, quelques séquences brillantes (essentiellement, lors de toute la première partie, qui consiste pour les personnages à se rendre dans la zone), une atmosphère lourde et pesante, particulièrement réussie, surtout au niveau des effets sonores, exceptionnels. Voilà où s'exprime toute la maitrise du réalisateur.
Par contre. D'une chose, le film est extraordinairement lent : ce n'est pas forcément un tort, entendons-nous bien, lorsque cela est bien exploité. Ici, il y a trop de passages contemplatifs, trop de passages où rien ne se passe, trop de temps accordé à des digressions philosophiques, qui, personnellement, me sont passées au-dessus de la tête (le russe n'étant pas mon fort, philosopher avec des sous-titres est assez moyen). Du coup, c'est d'un ennui mortel pendant une bonne grosse partie des 2h40 (!), alors que certains passages sont excellents, dommage.
Au niveau des acteurs, ce n'est pas terrible, le Stalker est assez insupportable, pleurnicheur - mais, un loser crédible, du coup. Le prof est simplement insignifiant, seul l'écrivain s'en tire correctement, avec une bonne interprétation, qui tient pas mal de son physique assez inquiétant.
Légère déception, mais ce film ne s'adressait visiblement pas à moi.

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Un film documentaire.
Film sur l'escalade (une de mes passions), et notamment sur CHRIS SHARMA, l'un des meilleurs grimpeurs du monde.

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Le premier film d'un réalisateur populaire.

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Un film que tu n'as pas encore vu d'un réalisateur que tu adores.

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Le film préféré d'un éclaireur (Aurea).
Il faut absolument que je revoie aussi "Vertigo" (film préféré de Krokodebil), mais bon, je l'ai déjà vu une fois...

Vu le 11/10. Un grand mélodrame de David Lean, qui emprunte à plein d'autres histoires. C'est parfois un peu "Autant en emporte le vent", d'autres fois, clairement plus "Madame Bovary". C'est la première guerre mondiale en Europe, et les indépendantistes irlandais forment les prémices de l'IRA. Tout ceci donne un cadre vraiment sympa au film : les paysages irlandais sont magnifiques et l'ambiance est parfaite.
"La Fille de Ryan", c'est aussi l'histoire de la stupidité et de la méchanceté de la multitude. Heureusement, l'adorable minois de Sarah Miles permet vite d'oublier l'horreur de la vie dans ce village de consanguins irlandais.
En terme d'acteurs, les vieux s'en sortent bien (Mitchum, Howard), la fille est très jolie, et son amant jeune est atroce.

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Un film qui a reçu l'oscar du meilleur film.

Vu le 16/06. La jolie dame de compagnie de Mrs. Van Hopper attire le regard du beau veuf Maxim de Winter, un richissime propriétaire terrien. Il l'épouse sans tarder, et les deux amoureux rejoignent la demeure ancestrale des de Winter, Manderley. Malheureusement pour la nouvelle Mrs. de Winter, le spectre de la veuve, Rebecca, adorée de tous, imprègne encore les lieux de sa présence...
Après un début un peu poussif, Hitchcock reprend les choses en main, et tout devient assez génial dans les dernières quarante-cinq minutes. Le film est porté par un duo d'interprètes virtuoses, et de très bons seconds rôles.

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Un film tiré d'une histoire vraie.

Vu le 09/05. Quel ennui... Gros biopic moderne sur l'une des figures les plus intéressantes de l'aviation ET du monde du cinéma, le fantasque Howard Hughes, "The Aviator" commet avec empressement toutes les erreurs inhérentes au genre particulier du biopic : un film beaucoup trop long et sans scénario (même une figure comme Hughes ne peut suffire à faire une bonne histoire). Qui plus est, Scorsese utilise pendant une bonne heure sa photographie fétiche, un bicolore orangé/bleuté d'une laideur incroyable - il le réutilisera, avec beaucoup plus de succès, dans "Hugo Cabret". DiCaprio n'a pas eu l'Oscar (Dieu merci), mais l'horrible Cate Blanchett l'a eu pour son massacre de la grande Katharine Hepburn, et il y a quand même des choses que l'on ne peut pas pardonner.

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Un film tout en bas de ta liste d'envies.

Vu le 24/08 dans l'avion. Bon, ce n'est pas la catastrophe présagée, mais ce n'est quand même pas terrible. Tous les clichés possibles et imaginables des films de Peter Jackson sont représentés, l'image est toujours aussi baveuses et les scènes d'action toujours aussi chiantes. Mais curieusement, l'on ne s'ennuie pas trop trop et ça reste regardable (en avion).

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Un film que ta maman aime.

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Un film qui traite d'une de tes phobies (ma phobie c'est l'enfermement, pas l'inceste, je précise au cas où...).

Vu le 27/07. J'avais entendu parler de "Old Boy" depuis longtemps, et j'avais assez envie de le voir (malgré mon peu d'attirance pour le cinéma coréen - je préfère son homologue chinois ou hongkongais).
Autant le dire tout de suite, c'est probablement le film le plus dégueu et l'un des plus glauques que j'ai jamais vus.
Non content de faire une fixation malsaine sur les dents et la torture, le film propose un panel de mutilations très exhaustif. Le principe de l'histoire est un peu alambiqué, il y a un twist qui reste correctement amené et c'est plutôt bien joué (pas trop de surjeu comme chez Kurosawa par exemple). Cela dit, ça reste extraordinairement dérangeant.

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Un film d'au moins 50 ans.

Vu le 28/03. Un immense classique sur SensCritique, donc une attente proportionnelle (noté quand même 10 par 7 de mes éclaireurs, et 8 par les deux autres l'ayant vu). Je voulais aimer ce film, je voulais l'adorer, même. Au final, même si j'opte pour un 8 tout à fait honorable, je ne peux m'empêcher d'être un peu déçu (trop d'attente, sans doute).
Ma principale déception concerne le personnage de Janet Gaynor. Même si j'adore Janet, et que son sourire me fait fondre à chaque fois, je la trouve bien plate et bien soumise, ce qui est quand même dommage.
Après ça, la réalisation est parfaite, la photo est sublime, et la musique fonctionne bien, il n'y a rien à redire.

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Un film dont l'affiche t'attire.

Vu le 04/05. Une histoire inspirée de celle du boxeur James J. Corbett, qui commença effectivement comme employé de banque avant de connaître le succès.
Toutefois, "Gentleman Jim" échappe au piège du biopic, qui consiste à proposer l'histoire d'un personnage hors du commun sans se préoccuper du scénario du film et de sa narration : ça donne souvent de bien belles merdes.
Ici, c'est l'inverse, c'est un film super, au final, peu importe si le personnage est réel ou pas. "Gentleman Jim" c'est le récit de l'élévation sociale d'un individu dont la confiance et la détermination n'ont d'égales que son impertinence, magistralement interprété par Errol Flynn, fait pour ce rôle. Et puis Alexis Smith est plutôt pas mal...

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Un film vu en classe et oublié.

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Un film tiré d'un fait historique.

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Un film de moins de 90 minutes.

Vu le 26/04. Beaucoup trop d'attentes pour ce film, devenu mythique, pour lequel la sublime Rita a sacrifié sa crinière. Je m'attendais à un film noir de merveille, l'un de ces chefs-d'œuvre dont l'on ne ressort pas indemne (bon, j'exagère un peu). Finalement, ça se laisse voir, c'est même sympa par moments, Orson Welles, que je découvre aussi bien en tant qu'acteur que réalisateur, est un mec assez génial, et Rita très, très belle. Cela dit, ça manque du panache que l'on était en droit d'attendre, par moments c'est confus, par moments c'est long, et le dénouement sort un peu de nulle part. Le final est absolument grandiose par contre.

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Un film avec des antonymes dans le titre (limite...).

Vu le 17/04. Le film est assez conséquent mais se laisse finalement voir, principalement parce que Malcolm McDowell joue très bien, et que les seconds rôles sont savoureux (particulièrement le ministre). Le scénario est bien mené, les thématiques, plutôt bien exploitées. Après, l'esthétique est par contre absolument immonde, et certains passages du film, extrêmement graphiques, volontairement gerbants, un peu lourds. Le dialogue final me permet de lui rajouter un point, toutefois.

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Un film se déroulant dans un lieu que tu as toujours voulu visiter (Hong-Kong).

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Un film de ton année de naissance.