Top séries 2012-2013

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Saison 4.
Ici on retrouve presque la qualité de la saison 2 ( seulement "presque" parce que Margo Martindale n'est plus là). Le fil rouge de la saison est passionnant, disséminant des petites touches d'avancements épisode après épisode, et fini sa course avant la fin, permettant à la saison de très bien se conclure sur les conséquences de cette intrigue. La saison a su explorer en parallèle les deux personnages principaux de la série (Boyd et Raylan) en trouvant une bonne jonction de leurs histoires et de les entremêler de façon intelligente.
Pour finir, la saison aura même pris le temps de donner de la consistance au personnage de Tim (cf la photo de cette liste) et c'est un plus très appréciable.

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Saison 1.
Une série incroyablement touchante. Le sujet est difficile mais pourtant pas si éreintant à suivre. Rectify prend son temps pour raconter son histoire, pour nous faire découvrir ses personnages, mais surtout cette ville, son atmosphère et les réactions de ses habitants. Les flashbacks sont d'une justesse infini. Le personnage de Daniel est fascinant. Sa réadaptation est ce qui m'a le plus plu, mais aussi ces moments ou il dit enfin ce qu'il pense, ce qu'il éprouve, sa perception des choses et comme il parle de son expérience en prison et de ce retour inespéré à la réalité. Ce qui est tout aussi bien fait dans cette série, c'est le fait de ne jamais vraiment savoir s'il est coupable ou pas.
Bref, une grande série. L'attente va être longue jusqu'à la saison 2.

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Saison 6.
Alors que le parcours de Don m'a un peu agacé au début de la saison, le dernier tiers et le magnifique final de la saison m'a réconcilié.
Même si je peux reprocher à la saison d'avoir un peu délaissé Joan et d'avoir un peu trop insisté sur le mystère Bob, il y a toujours des choses merveilleuses. L'exploration de Pete est surement ce qui m'a le plus plu, mais aussi Peggy, Roger, le parallèle Ted/Don et bien évidemment la relation de Sally avec sa mère et son père.
Encore une fois il y a plusieurs épisodes qui me reste en mémoire après plusieurs mois, certaines scènes et c'est ça la marque d'une grande série.

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Saison 4.
Ici on retrouve presque la qualité de la saison 2 ( seulement "presque" parce que Margo Martindale n'est plus là). Le fil rouge de la saison est passionnant, disséminant des petites touches d'avancements épisode après épisode, et fini sa course avant la fin, permettant à la saison de très bien se conclure sur les conséquences de cette intrigue. La saison a su explorer en parallèle les deux personnages principaux de la série (Boyd et Raylan) en trouvant une bonne jonction de leurs histoires et de les entremêler de façon intelligente.
Pour finir, la saison aura même pris le temps de donner de la consistance au personnage de Tim (cf la photo de cette liste) et c'est un plus très appréciable.

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Saison 2.

Après une introduction de saison très réussi, la série replonge malheureusement dans une série d'épisodes assez moyens, voir même parfois peu inspirés. Pour autant, Person of Interest reste intéressante en continuant à parsemer ses épisodes d'une mythologie qui la rend sympathique, parfois drôle ou touchante, voir même fascinante. J'englobe donc ici, autant les retours de temps à autres de Zoé ou Léon, que le passé des personnages et les différents fils rouges de la série (machine, HR, gouvernement and co).
En dehors de ces détails, Person of Interest, comme lors de sa première saison, réussi à faire monter les enjeux et à révéler suffisamment d'éléments sur le dernier tiers de la saison. Bien évidemment, on retiendra les deux derniers épisodes de la saison, mais à mon sens, l'épisode le plus réussi de la série jusqu'ici reste l'introduction au personnage de Shaw. Autant j'étais déjà bien amoureuse du personnage de Root, complètement frappadingue et diablement intelligente, autant Sarah Shahi en Shaw, c'est exactement ce qu'il manquait de badass-attitude et sexy-tude à la série. A chaque fois que le duo Shaw-Reese est réuni, je jubile !

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Saison 1.
Fascinant. La réalisation froide et lente, accompagnée par une BO captivante, permet de créer une ambiance particulière, très soignée, qui met le spectateur en pleine tension. Le point fort c'est aussi cet éventail de personnages, qui est peu à peu approfondit et qui permet de saisir chaque situation, chaque réaction, qui se dessine devant l'incroyable retour des morts.

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Minisérie.
Voir ma critique.

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Saison 1.

La série bénéficie d'une réalisation soignée, réfléchit, impeccable, qui cale parfaitement au thème, à l'histoire, à la ville. C'est une ambiance toute particulière, qui permet de faire vivre cette enquête et ce deuil de façon très particulière. On est devant Broadchurch et pas devant autre chose.
L'histoire est émouvante, la gestion des personnages, de la communauté, face à ce meurtre et ses conséquences sont très bien foutue et intéressante. L'enquête sait prendre son temps, tâtonne par moment, s'égare sur des mauvaises pistes, sans jamais que ça soit forcé. C'est normal, de ne rien laisser passer, d'étudier chaque nouvel élément minutieusement, pour écarter les pistes et finir par trouver la bonne. J'ai beaucoup aimé ça. Mention spéciale à la sobriété de Tennant et la prestation remarquable d'Olivia Colman.
Je ne sais pas vers ou se dirige la saison 2, mais je crois que je préférerais suivre Colman que Tennant en fait. Même si, avoir les deux ça me va aussi !

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Saison 4.
C'est peut-être de la mauvaise fois que de placer The Good Wife devant Girls et Sons of Anarchy, qui avait un peu moins de fausse note qu'elle. Il est vrai que l'intrigue de Kalinda en début de saison a quelque peu plomber la série. Mais tout le reste était bon et l'intrigue pourri expédié TGW nous a livré une deuxième moitié de saison magistrale ! Je n'ai pas peur de le dire. Tout était maitrisé et intelligent. J'ai vu cette saison en trois parties : Le combat contre la banqueroute de Lockhart/Gardner, les conséquences de leur sauvetage et pour finir, la montée de Cary. Plus la saison avancé, plus il y avait de tension, plus au sentait que les personnages et la série étaient dans un tournant. Les choses allaient basculer, changer. Lors des dernières minutes de la saison, j'ai cessé de respiré. Voilà. Tout est désormais ouvert pour l'an prochain. J'ai confiance, les Kings peuvent nous sortir une saison 5 impécable, au point qu'enfin elles finissent première d'un top annuel. Je suis un peu excessive ce soir, mais ces derniers temps, TGW a été la seule série qui me paraissait constante dans la qualité. Un vrai régal.

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Saison 4.
C'est légèrement moins bon que les deux saisons précédentes. Certains épisodes sont peut-être un peu moins inspirés que les saisons passés, mais il y a toujours des moments complètement hilarant et WTF. Mais bien évidemment il y a aussi des épisodes vraiment super drôle et de haut vol. Je penses notamment au second épisode de la saison, ainsi qu'aux épisodes 9 à 11.

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Saison 1.
La série marche sans problème. Il y a beaucoup de tension, dû au fait que la série ose avancer dans son intrigue, toujours un peu plus loin. L'actrice principale est magistrale. Je marche à fond dans le concept, alors qu'il est très casse gueule et très souvent visité (pour le meilleur et le pire) dans les séries. J'aime l'ambiance, j'aime Cosima et Felix et j'aime l'épisode 8.

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Saison 1.

D'abord ça fait plaisir de retrouver l'univers d'Avatar, quelques années plus tard, avec pas mal de changements intéressants. En gros la victoire de Aang sur la nation du feu a laissé un monde qui doit se reconstruire et on sent que les bases sont encore fragiles. Toutes les questions sur la place des profanes dans ce monde sont vraiment intéressantes. Il y a une vrai crainte du méchant de l'histoire dont le pouvoir est vraiment terrifiant.
La jeune Korra a un caractère très fort, qui tranche avec Aang et c'est très bien. L'idée du quatuor Asami, Bolin, Mako marche très bien. Je suis quand même déçue que les amourettes ait si vite pris de la place, mais c'est une critique mineur.
Je trouve la série bien plus mature que la série mère, plus soigné aussi visuellement. Une réussite que cette suite !

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Saison 5.

Même si par moment j'ai trouvé qu'il y avait une surenchère de violence pas forcément justifié et qu'il y avait un ou deux trucs qui m'ont ennuyés, je dois dire que la saison était assez maîtrisée et tout se conclue dans le season final, et de façon naturel.

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Saison 2.

Après une introduction de saison très réussi, la série replonge malheureusement dans une série d'épisodes assez moyens, voir même parfois peu inspirés. Pour autant, Person of Interest reste intéressante en continuant à parsemer ses épisodes d'une mythologie qui la rend sympathique, parfois drôle ou touchante, voir même fascinante. J'englobe donc ici, autant les retours de temps à autres de Zoé ou Léon, que le passé des personnages et les différents fils rouges de la série (machine, HR, gouvernement and co).
En dehors de ces détails, Person of Interest, comme lors de sa première saison, réussi à faire monter les enjeux et à révéler suffisamment d'éléments sur le dernier tiers de la saison. Bien évidemment, on retiendra les deux derniers épisodes de la saison, mais à mon sens, l'épisode le plus réussi de la série jusqu'ici reste l'introduction au personnage de Shaw. Autant j'étais déjà bien amoureuse du personnage de Root, complètement frappadingue et diablement intelligente, autant Sarah Shahi en Shaw, c'est exactement ce qu'il manquait de badass-attitude et sexy-tude à la série. A chaque fois que le duo Shaw-Reese est réuni, je jubile !

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Saison 2.
La saison 2 était bien meilleure que la saison 1, qui était déjà de plutôt bonne facture. Ici la Veep parait toujours dépassée et son équipe de bras cassé l'est toujours plus, mais ils ont l'air plus compétent, ils arrivent à faire des choses, ils tentent de nous faire croire un minimum que la Veep et eux, ne sont pas là par hasard. Il y a eu deux épisodes particulièrement hilarant : Helsinki et le dernier de la saison. C'est aussi pour ça que la série est meilleure, l'humour fonctionne mieux.

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Saison 2.
Ce que j'aime avec Girls c'est le fait qu'elle s'éloigne des codes de séries. Les épisodes ont des narrations différentes à chaque fois, les personnages au centre de l'attention change régulièrement. Au début de la saison j'avais peur que la série s'appelle en réalité girl sans le "s" à la fin, finalement Lena Dunham à su s'éffacer lors du dernier tier. Je suis dévenu une grande fan du personnage de Ray. Cependant, les deux derniers épisodes m'ont laissé un gout amer. J'ai trouvé que Dunham n'arrivait pas à "conclure" sa saison, et que ses personnages n'avaient plus vraiment de cohérence : Shoshanna, Hannah et Marnie (particulièrement mal exploité à partir du milieu de la saison d'ailleurs).

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Saison 2.

Après une introduction de saison très réussi, la série replonge malheureusement dans une série d'épisodes assez moyens, voir même parfois peu inspirés. Pour autant, Person of Interest reste intéressante en continuant à parsemer ses épisodes d'une mythologie qui la rend sympathique, parfois drôle ou touchante, voir même fascinante. J'englobe donc ici, autant les retours de temps à autres de Zoé ou Léon, que le passé des personnages et les différents fils rouges de la série (machine, HR, gouvernement and co).
En dehors de ces détails, Person of Interest, comme lors de sa première saison, réussi à faire monter les enjeux et à révéler suffisamment d'éléments sur le dernier tiers de la saison. Bien évidemment, on retiendra les deux derniers épisodes de la saison, mais à mon sens, l'épisode le plus réussi de la série jusqu'ici reste l'introduction au personnage de Shaw. Autant j'étais déjà bien amoureuse du personnage de Root, complètement frappadingue et diablement intelligente, autant Sarah Shahi en Shaw, c'est exactement ce qu'il manquait de badass-attitude et sexy-tude à la série. A chaque fois que le duo Shaw-Reese est réuni, je jubile !

Annotation :

Minisérie.
Bien évidemment tout l'intérêt c'est d'enfin suivre cette 2nde guerre mondiale du point de vu allemand. Le contrat est en partie remplie : front russe, humanisation des allemands qui manque cruellement dans la plupart des œuvres existantes (non, ils n'étaient pas tous des connards), l'enlisement de la guerre vu par les allemands et leur défaite qui arrive inexorablement. J'ai trouvé dommage que l’endoctrinement d'une partie de la population allemande ne soit pas suffisamment montré, elle est ici comme un spectre, encore une fois jamais montré de front. Mais moi je veux ça aussi, je veux qu'on montre comment on peut en arriver à suivre un dictateur pareil, comment on peut embrasser des idées à la con comme ça. Bref, c'est pas dans cette oeuvre qu'on abordera le sujet.
C'est dommage que dans les deux premières parties, deux personnages sur cinq soient trop caricaturaux, pas assez passionnant et pas assez crédible, pour nous atteindre comme les trois autres le font. Heureusement un des deux saura nous émouvoir sur la fin. L'horreur de la guerre, comme les Hommes sont transformés par leurs actes, les morts, le sang, la violence, la survie, est particulièrement réussi. Physiquement et mentalement les personnages sont changés, détruits. Tom Schilling est époustouflant.
Pari réussi pour l'attachement aux personnages, à l'intérêt du téléspectateur pour leur destiné. Bref, une très bonne découverte. J'avais même envie d'avoir 1h de plus pour suivre la reconstruction de certains d'entre eux, après toute ses horreurs, après la destruction.

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Saison 1.

La série a su dresser au fur et à mesure des épisodes un univers tout à fait convainquant. Les personnages principaux ne sont pas caricaturaux mais plutôt tout en subtilités. The Americans sait prendre son temps et n'essaye pas de surenchérir et il faut admettre que ça marche : la tension est de plus en plus palpable, et les deux-trois derniers épisodes jouent sur la construction précédemment mis en place, ou l'avenir même des personnages secondaires nous intéresse (Nina, Martha...). Le final de la saison était donc tout à fait satisfaisant. Je trouve en plus que la toile de fond années 80/années Reagan est très bien exploité.

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Saison 2.
Cet anime m'a mis une pêche de malade ! Y'a pas un épisode ou j'ai pas rigolé.
Alors certes c'est QUE du fan service, mais qu'est-ce que c'est bien fait !
Tous les personnages sont excellents, avec leurs caractéristiques propre, qui fait toute la force comique de cet anime. Les running gag fonctionnent à pleins tubes. Mes préférés étant le rhum-raisin du Kyoko, le hate/love de Sakurako/Himawari, le manque de présence d'Akarin, la fainéantise pour les devoirs de Kyoko et Sakurako et les dessins affreux de Chinatsu.
Bon y'a juste aucune histoire, à part les ressors liés aux 3-4 caractéristiques/obsessions/relations des personnages. La série repose aussi sur des références parodiques aux animes. Elle mixe des moments de tranches de vies à des gros WTF de discussions/imaginations entre les protagonistes, qui donnent de grands moments très drôle.
Voilà, je suis trop fan de l'humour de cet anime. J'adore le personnage de Kyoko, qui est quand même LE personnage sans qui Yuru Yuri ne serait rien... Déso Akarin :D.

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Saison 4.
Ici on retrouve presque la qualité de la saison 2 ( seulement "presque" parce que Margo Martindale n'est plus là). Le fil rouge de la saison est passionnant, disséminant des petites touches d'avancements épisode après épisode, et fini sa course avant la fin, permettant à la saison de très bien se conclure sur les conséquences de cette intrigue. La saison a su explorer en parallèle les deux personnages principaux de la série (Boyd et Raylan) en trouvant une bonne jonction de leurs histoires et de les entremêler de façon intelligente.
Pour finir, la saison aura même pris le temps de donner de la consistance au personnage de Tim (cf la photo de cette liste) et c'est un plus très appréciable.

Annotation :

Saison 5.
La fin de la série a été très bien mené. Il y avait de la tension, une ligne directrice clair et de la vrai émotion. Seul bémol, je regrette le manque de continuité avec le reste de la série. Il y a avait cette volonté de la rattaché aux restes, mais ça m'a semblé superficiel. C'était bien, mais c'était pas tout à fait la série que j'avais suivit pendant 4 saisons (absence de monde parallèle).

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Saison 2.

Après une introduction de saison très réussi, la série replonge malheureusement dans une série d'épisodes assez moyens, voir même parfois peu inspirés. Pour autant, Person of Interest reste intéressante en continuant à parsemer ses épisodes d'une mythologie qui la rend sympathique, parfois drôle ou touchante, voir même fascinante. J'englobe donc ici, autant les retours de temps à autres de Zoé ou Léon, que le passé des personnages et les différents fils rouges de la série (machine, HR, gouvernement and co).
En dehors de ces détails, Person of Interest, comme lors de sa première saison, réussi à faire monter les enjeux et à révéler suffisamment d'éléments sur le dernier tiers de la saison. Bien évidemment, on retiendra les deux derniers épisodes de la saison, mais à mon sens, l'épisode le plus réussi de la série jusqu'ici reste l'introduction au personnage de Shaw. Autant j'étais déjà bien amoureuse du personnage de Root, complètement frappadingue et diablement intelligente, autant Sarah Shahi en Shaw, c'est exactement ce qu'il manquait de badass-attitude et sexy-tude à la série. A chaque fois que le duo Shaw-Reese est réuni, je jubile !

Annotation :

Saison 1.
La série a deux atouts pour elle : un casting impeccable, que ce soit Jon Hamm, Daniel Radcliffe et les personnages secondaires, et un concept intéressant (le docteur drogué du futur est en interaction avec le docteur du passé futur drogué, sans que cela change jamais le destin de ce dernier).
La série est à la fois drôle et assez noire, un mélange intéressant et finalement assez original.
Pourtant, on ne peut complètement s'enthousiasmer, tant la série effleure son potentiel par son manque d'épisodes (4 de 20mins). La série n'entre pas complètement dans son sujet, parce qu'elle n'en a pas le temps et n'ose donc pas assez.

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Saison 1.

Dépaysant. Et pour une série policière, c'est un miracle.

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Saison 1.

Le début de la série n'était pas très réussi. Quaid avait l'ai constipé, le personnage de Chiklis pas très passionnant et l'optique shérif assez ennuyeux. Finalement, après avoir pris ses marques les enquêtes ne se sont pas trop avéré moisi, pour deux raisons : ou elles ont su resté simple, ou elles ont su s'intégrer avec l'histoire global de la saison. Les personnages ont su être attachant. Alors ça n'est pas la série du siècle, mais ça se regarde très bien et c'est de bien meilleur facture qu'on peut le penser (belle réalisation, bon dosage avec les intrigues de la semaine et de la saison et univers sympathique).

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Saison 1.
Un univers sympathique, c'est vrai, drôle, parfois émouvant. Tous les épisodes ne se valent pas, mais ça se regarde bien.

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Saison 9.
C'est pour moi la saison du renouveau. L'introduction des nouveaux internes apportent beaucoup de fraicheur à la série. La nouvelles place des titulaires amènent de nouvelles dynamiques. Et le traitement sur la durée des événements de la saison passé sont très assumé. Tout n'est pas parfait, mais on sent qu'après 9 saisons il y a encore des choses qui font plaisir à suivre.

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Saison 1.
L'univers de Nashville était agréablement surprenant : un rythme pas trop soutenu, une introduction à l'univers musicale de la country assez bien fait et le parcours de ces trois femmes sur trois échelles était vraiment sympa (Rayna la "vieille", Juliette la "jeune" et Scarlette qui risque d'arriver). Cependant c'était un peu terni par la partie politique, peu passionnante et dont on aurait pu se passer. Ensuite la série a pris de plus en plus un virage soap très dommageable. Heureusement l'univers musicale et les chansons originales sont très agréable. J'ai eu espoir sur l'avant dernier épisode, ou le dosage soap/drama-musicale était presque parfait. Finalement le final a été un peu trop too much pour moi. Mais je serais surement là la saison prochaine, parce que j'aime Connie et la musique de Scarlette.