Arnold The Strong

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Premier essai guère concluant, ce truc kitsch et improbable est non seulement mauvais mais de plus Schwarzy se voit crédité en tant que Arnold Strong au générique (son nom paraissant trop long et imprononçable pour le distributeur ) et ses dialogues sont intégralement redoublés pour cause d'accent Autrichien trop prononcé.

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Excellent documentaire sur le culturisme, Pumping Iron fait la part belle à Schwarzy, puisque celui-ci dispute sa sixième compétition en tant que Mr Olympia. Nous y croisons aussi le futur The Hulk TV Lou Ferrigno, Franco Columbu (ami d'Arnold qui fera quelques caméos dans les films de la star et deviendra par deux fois Mr Olympia), le sympathique Mike Katz et d'autres gars gonflé à l'hélium...
Il plane un je ne sais quoi d'homo-érotisme là-dedans (des gars qui soulèvent de la fonte, s'enduisent d'huile et s'entraident pour parfaire leurs poses) pas aidé par une BO digne d'un porno de la belle époque.
Mais qu'importe, l'allant de Schwarzy plus la hargne des autres compétiteurs (Ferrigno en tête) fait de ce doc un must to see !

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Petit film gentillet et sans saveur, Cactus Jack ne m'a pas laissé de bons souvenirs (ni même de mauvais) puisque je ne me rappelle quasiment plus rien à son sujet...

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Titre français opportuniste s'il en est, The Comeback n'est pourtant pas la suite de l'excellent Pumping Iron et ce, même si le sujet reste identique dans le fond. Mais là où le doc de George Butler forçait l'admiration, ici c'est bien plus laborieux dans tous les sens du terme.
Dommage, car c'était l'ultime compétition de notre Mr Olympia...

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Opéra baroque en Thulsa Doom Majeur, Conan The Barbarian impose une imagerie violente et paienne qui marqua durablement le cinéma (d'ailleurs, personne n'a fait mieux jusqu'à ce jour) et Arnold est magnifique dans le pagne de cet esclave devenu Roi à la force de ses bras (et de son épée).
La splendide BO du regretté Basil Poledouris est devenue un classique et la réal de Milius n'a jamais été aussi puissante, guerrière et implacable.
Mention spéciale à james Earl Jones, impérial en tant que Thulsa Doom, leader reptilien d'une secte dédiée à sa propre gloire.

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Comment réussir à faire mieux que l'oeuvre flamboyante de Milius ? C'est impossible, d'autant plus quand le producteur (Dino DeLaurentiis) impose des choix stupides (une Princesse idiote, un antagoniste en carton créée par Carlo "Vas-y j't'embrouille" Rambaldi, des effets visuels digne du Muppet Show, un adoucissement de la violence guerrière, blah...) pour un résultat insipide...voire honteux.
Reste notre Schwarzy qui tente d'y croire encore et une Grace Jones toujours aussi magnétique...animale.
C'est déjà ça de pris, me direz-vous !

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"Sur un malentendu, ça peut marcher" a dû se dire notre Chêne autrichien, en acceptant de jouer dans ce petit film de S-F réalisé par un inconnu, transfuge de chez Corman (pas un gage de qualité, juste de débrouillardise).
Plus forte fut la surprise lorsque le p'tit Cameron réussit l'impossible !
Le reste appartient à l'histoire...

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Toujours pieds et poings liés par son contrat d'avec DeLaurentiis (stipulant que 3 films avec Conan seront tournés), Arnold se voit propulsé malgré lui en haut de l'affiche de ce sous-Conan The Destroyer (c'est dire !) où il ravit la vedette au rôle-titre (soit Red Sonja, jouée par l'athlétique et siliconée Brigitte Nielsen).
Mou de partout et encore réalisé par un Fleisher au bout du rouleau, ce Conan 3...Red Sonja est un sinistre chant du cygne pour notre Conan...Kalidor (oui, le prénom a été changé pour une question de droit).

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Nous voilà en plein milieu des 80's et le cinéma d'action tous azimuts règne au box-office (First Blood Part II, Missing in Action, American Ninja...) et Schwarzy prend le train en marche (enfin ici, c'est plutôt un hydravion, mais bon...) et fait péter tout le casting.
Invraisemblable de bout en bout, Commando n'est qu'un véhicule bourré de cliché pour mettre en valeur la "force" de notre John Matrix de Schwarzy qu'il est...

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Après le wtf total de Commando, Schwarzy choisit de figurer dans ce polar plus terre à terre où il doit affronter des trafiquants de drogue mais sans pour autant faire exploser un quartier ni abattre 500 personnes avec des outils de jardins ou un lance-roquette.
Sous-estimé...

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Avec un vrai cinéaste, le moindre scénario basique peut se transformer en un film instantanément culte.
Predator est donc de cela et - non seulement le casting est un concentré de testostérones irradiants la puissance - mais surtout McTiernan confirme - après le méconnu et étrange Nomads - qu'il a du talent à,revendre et une vision rigoureuse qui transcendera son sujet.

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, The Running Man replonge dans la violence comic-book de Commando avec une pointe de sarcasme envers la télévision.
Bien sûr basé sur le roman de Bachman/King, ce film prouve que Paul Michael "Starsky" Glaser en a sous le pied et nous livre un film rentre-dedans avec juste ce qu'il faut pour nous rassasier de notre dose de violence ciné quotidienne.

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Décidément, chaque 2 films, Schwarzy retombe dans le plus "sérieux" avec ce Red Heat, plus axé polar (comme Raw Deal) que comédie (Commando ou Running Man).
Ici, c'est un buddy movie (après tout, Hill a quasiment inventé le genre avec son 48 Hrs., en 1982) où un flic Russe méthodique fait équipe un Ricain surexcité et court après un trafiquant de poudre échappé de Moscou (l'excellent et sous-estimé Ed O'Ross).
L'humour provient de jim Belushi, tandis que Arnold se la joue plus "mécanique", comme un certain T-800 de ma connaissance.
Efficace.

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Comme je le disais un peu plus haut, voici le film "léger" (ou comic-like), coincé entre le sérieux Red Heat et le casse-tête violent Total Recall
Ici, il est question de faux-jumeau (si si, je vous assure !) qui se rencontrent pour la première fois à l'aube de leur 40 ans.
On rigole on s'amuse à Disneyland, sous l’œil rigolard de Mr Ghostbusters.

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Après la détente, on presse la détente...de l'âme.
Doug Quaid veut aller sur Mars mais il ne peut pas se le permettre. Alors, il va sur Mars mais pas vraiment.
Pourtant, il y a déjà été mais est-ce vraiment lui qui y étaot présent ou alors son autre lui.
Mais qui est donc son autre lui ? Serait-ce le vrai lui que pourtant lui-même ne connaît pas .
Oui, sous ses atours de films S-F énervé et sanglant, Total Recall est un film à plusieurs strates scénaristiques.
C'est donc un film intelligent qui se déguise en actionner basique idéal pour Schwarzy.

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Et hop, un film léger après le brainstorming précédent.
Un gentil flic un peu brutal doit retrouver un méchant un peu brutal...mais ce n'est rien comparé aux petites brutes...de la maternelle !
De bons sentiments, une once de drame (la situation père/fils du bad guy), un poil d'action et hop, Mr Ghostbusters réussit son improbable mélange des genres.

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On redevient sérieux à nouveau puisque Arnold figure dans le film le plus cher jamais réalisé (avant 1991, donc) avec le bulldozer T2: Judgment Day.
Campagne marketing monstre (je me rappelle le présentoir en carton où étaient à vendre les fameuses lunettes de soleil "T2", les affiches gigantesques, la fameuse borne d'arcade, le clip des Gun's...).
Vu pour la première fois en VHS pirate, je fus donc fort désappointé (image de merde + un T-800 "gentil" = Fuuuuck ! )
Après avoir acheté la VHS toute belle 2 ans plus tard, je ré-estimais alors le tank de Cameron (image splendide, SFX renversant, réal au rasoir...), malgré la propension du réal à vouloir "collifier" le T-800 à l'aide de punchlines débiles (Hasta la Vista, Baby /Trust Me/Excellent/I'll Be Back...) et les dialogues casse-couille d'un Ed Furlong..., ben casse-couille lui aussi ! !

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Rien ne semblait pouvoir arrêter Arnold, après le hit T2...jusqu'à cet exceptionnel LAH.
2 erreurs monumentales ont sérieusement handicapé ce film:

1. La méga-campagne promo voyait un Schwarzy/Slater gonflable gigantesque tenant un fusil à pompe dans sa main droite et une grenade dans la gauche, alors qu'avait eu lieu l'attentat du World Trade Center en février de cette même année 1993,

2. La sortie même du film à peine une semaine après la tornade Jurassic Park, qui drainait encore et encore les spectateurs ébahis.

Ajoutez-y le fait que les dits spectateurs n'ont rien compris au film du fait de sa croisée des genres (parodie, actionner, drama, S-F...) et voilà une perte sèche de 26M$...

Et pourtant, quel film !!!

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Caméo amical de la star pour son ami Reitman qui l'a dirigé dans Twins et le refera l'année suivante avec Junior.

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Après T2, Arnold retrouve Jim pour ce remake survitaminé (et inattendu de leur part à tous les deux) du frenchy la Totale !, où notre Autrichien favori va se la jouer vendeur informatique le jour/ James Bond la nuit.
1000 fois plus trépidant que son modèle (avec un budget sûrement multiplié par 100), True Lies se déguste comme un tour en roller-coaster, malgré le ridicule de certaines situations, le bad guy Arabe cliché...!

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Autant Twins était sympathique, autant ce Junior est très mauvais!!!
Plus revu depuis 1996 et ça ne changera pas !!

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Arnold fait face au grand James Caan dans ce récit too much (la protection de témoin c'est ok, mais comme c'est un actionner, beaucoup trop d'exagérations) pourtant servi par une réalisation efficace de Chuck Russell.

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Peut-être la meilleure comédie de Schwarzy car sans temps mort et digne d'un dessin animé survolté.
Cette empoignade pour obtenir le dernier Turbo Man est un concentré de coup bas qui me fait encore rire rien qu'en y pensant.
Pas définitif pour autant, Jingle... reste un divertissement très agréable à voir.

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La note tient compte du fait que je n'ai vu que le court et donc, ne l'ait pas vécu en live et 3D.
Initié pour être un spectacle interactif, cette extension à T2 par l'équipe même du film n'apporte rien de plus à l'histoire mais reste regardable...même si j'ai forcément loupé l'intention de départ.

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Mmm...En fait, Arnold est la seule raison de voir ce truc fluo-blaireau-puta madre-blah.
Seul son personnage a une certaine épaisseur psychologique (c'est dire le niveau des autres persos) et même si ses calembours around freeze-stuff sont souvent lourds, ça reste toujours moins pire que la Batcard, les allusions chaudasses de Poison Ivy, le non-jeu de O'Donnell et la pauvre Alicia Silverstone un peu trop compressée dans son Batcostume un peu trop petit pour sa morphologie changeante, adolescence oblige. George Clooney est aussi embarassé que nous, donc il est hors-jeu.

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Vrai fausse bonne idée, cette confrontation entre notre Arnold flic alcoolo (pas assez creusé) et Satan lui-même (avec le Démon en CGI pas terrible en lieu et place de l'animatronique de Stan Winston) tourne un peu court puisque d'un thriller millénariste on tombe dans un actionner de plus.
Fort dommage car ça reste quand même intéressant de temps à autre et Hyams en a encore sous la semelle...En résulte un film plein de bonnes intentions mais parasité par l'aura même de sa star qui acceptera quand même de mourir en fin de métrage.
A noter qu'on a échappé à la fin originelle qui voyait Jericho se désempaler et sortir de l'église avec Christine (prouvant ainsi que Dieu avait sauvé son âme blah...).

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Horriblement gâché par une fin lamentable et parsemé d'hideux CGI (les hélicos en tête), The 6th Day a quand même l'intelligence d'apporter des idées dans son scénario sur le clonage et ses dérives.
La réalisation dynamique de Roger Spottiswoode permet au film de ne pas se traîner inutilement et donne malgré tout un spectacle intéressant.
Schwarzy aidant Schwarzy amène un capitakl sympathie en plus et Tony Goldwyn est toujours aussi fielleux comme à la belle époque (soit Ghost, en 1990).
Petit détail amusant: la production design des véhicules et uniformes rappellent énormément celle du Timecop de Peter Hyams On pourrait presque croire que c'est en fait le même univers et que Adam Gibson et Max Walker pourrait se rencontrer au café du coin...

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Mauvais timing pour ce film assez basique (sortie repoussée pour cause de 11/09) où Schwarzy est (inutilement décrit comme) un pompier qui va partir en Colombie (!) pour venger la mort de sa femme et son enfant.
Plutôt bien troussé par notre Andrew "Under Siege" Davis, ce film sans temps mort n'est malheureusement qu'un actioner de plus.
On peut quand même retenir une tonalité plus "dark" et donc réaliste, avec tous les corps flottant ou jonchant le sol en Colombie (assez rare de voir vraiment des cadavres d'innocents dans un blockbuster, n'est-ce pas Avengers et autre machine à sous de casinos) et le visage satisfait (avec une pointe de joie sadique) de Brewer lorsque la femme du terroriste retombe sans vie après qu'il l'ait électrocuté...

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Meh, le film reste efficace mais ça ne reste qu'un blockbuster lambda de plus...excepté la très nihiliste fin, paradoxalement anti-blockbuster...

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Ce film reste cool de apr son casting car sinon, l'histoire en elle(même ne vaut pas tripette...