Comment couler une franchise...

Annotation :

Après l'extrêmement prétentieux et révisonniste Prometheus, Scott décide de pisser sur les fans avec cet immonde produit bâtârd rempli de David suçant une flûte et s'auto embrassant (oui, c'est possible !), des persos cons comme des planches (essayer de faire la conversation à une planche, tiens !), des situations incroyables (une pétasse prend une douche en plein milieu d'une zone hostile et un couple baise dans une autre douche et euh...ils meurent, quoi !)...
FUCK !!

Annotation :

Après le prequel Amityville 2 (bien meilleur que l'original, cela dit), on sort Fleisher de sa semi-retraite (jadis brillant, il se vendit au plus offrant et ce, dès 1984 avec -tiens...- Conan The Destroyer puis Kalidor) et on lui dit... ben pas grand chose, en fait si ce n'est:
- "Mec, il faut profiter de cet engouement pour la 3D (voir Jaws 3D, Friday the 13th 3D) et on va appeler ce film...(réflexion intense des producteurs) AMITYVILLE 3D !!!
On est trop fort, tout ça...

Comme les deux films précités, ce Amityville pèche par son excès de "jetage de trucs bien cheaps plein ta face", au détriment d'une quelconque histoire.

Pourtant, cette saga se déclinera à la TV/vidéo (et même au cinéma, pour l'Arlésienne de Franck Khalfoun enfin sorti) en 13 exemplaires !!!

Et dire que tout ça, c'était un canular à la base...

Annotation :

Après le sombre et torturé Batman Returns (le meilleur Batman tout confondu) et sa galerie de personnages tragiques, la Warner décide que trop c'est trop !
Du coup, elle donne son aval pour colorer un peu ce ténébreux héritage que leur a laissé Burton et hop là, des néons en veux-tu en voilà et des acteurs insupportables (excepté Kilmer).
Il n'empêche que les jouets se sont bien vendus !
Et la thune aidant, vint l'incroyable Batman & Robin...

Plus tard, le Dark Knight redeviendra Dark avec la trilogie de Nolan, puis le reboot avec Affleck.

On l'a échappé belle (enfin, surtout la Warner) et la qualité est revenue, malgré ces deux désastres post Returns...

Annotation :

Après le hit de del Toro, la New Line et Snipes se dirent qu'un autre film était possible;
Mais voilà, le scénario de Goyer était mauvais, ce qui causa bien des troubles entre lui (car aussi réal, donc) et sa star.
Mais c'est bien à cause de ce script faiblard à l'humour campy que ce troisième film devient agaçant.
Et cela s'en ressentit sur les recettes catastrophiques en fin d'exploitation...

Blade mourut sur le grand écran...
...pour revenir via un DTV et l sempiternelle série TV;

Le mal est fait, Blade a ingurgité du mauvais sang...

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Après le film originel parlant des ghettos sociaux, de racisme, des légendes urbaines et de l'amour éternel (et oui, tout ça dans le Candyman de Bernard Rose !), voici venu un Farewell to Flesh qui rate tout ce qu'il entreprend: le scénario cliché et inintéressant, l'héroïne blonde censée rappeler la lumineuse Virginia Madsen et surtout, ils ont fait de Daniel Robitaille un esclave, alors que c'était un homme libre dans Candyman.

Bref, une version horrifique de Cnadyman, sans constat social, sous-texte subtil traitant du racisme ni même romantisme/tragédie.
On appelle ça une machine à fric...

Heureusement que Candyman revint dans..Candyman, en 2021, qui adopte le gimmick de la suite directe du film originel et réussit à en faire quelque chose de très bon !!

Annotation :

Originellement prévu pour une saga en trois actes, le mythe Conan fut attaqué par les mites issues de ce roublard de producteur qu'était De Laurentiis...
Du classique instantané de Milius et de sa barbarie pleine de poésie, on passe à un truc pour grand public, où le mauvais goût règne en maitre (transparence douteuse, créature en carton, Princesse à baffer...).

Conan ne s'en releva pas et changea même de nom: il s'appellera désormais Kalidor !

Vint une série TV boiteuse et un peu plus tard, Marcus Nispel - espérant réitérer ses réussites avec ses versions de Texas Chainsaw et Friday The 13th- se cassera les dents en remakant l'original.

Depuis, Conan végète dans les limbes malgré que le projet King Conan refasse surface de temps en temsp...

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Après un Critters 2 très fun (la scène où l'un des E.T chasseur prend l'apparence d'une playmate, la boule Critters...), voilà t-y pas que la New Line décide de continuer l'aventure, mais avec un budget sandwich !
Du coup, on reste coincé dans un immeuble en carton et on jette des Crits à tous les étages.
Las, c'est cheap et pénible à suivre...

Reste l'apparition d'une future star d'envergure (Di Caprio, qui débute et à très faim) et...Et ben c'est tout !

Pourtant, il feront encore pire avec Critters 4, tourné avec le budget salade du sandwich précédent.

Les Crits sont déclarés morts en 1992 et sont enterrés dans l'indifférence générale...

Reste donc le court Critters: Bounty Hunter qui rend le plus bel hommage aux deux premiers films avec de splendides images et SFX, à défaut d'un rythme languissant.

https://www.youtube.com/watch?v=yloNnvdWBU0

Annotation :

Le premier Prom Night (Le Bal de l'Horreur en VF) était un slasher lambda (heureusement fréquenté par Jamie Lee Curtis) et le second (mon préféré) se concentrait autour de la pauvre Marylou (qui repose sous la neigeee, carbonique... de l'extincteur d'in...cendie...).
Mais voilà, ce 3 perd toutes envies et devient encore plus lambda que le citoyen lambda !

Il y eut pourtant le sinistre Prom Night: Deliver Us From the Devil et même un effroyable remake.

Comme quoi, tout arrive !

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Yippy Kai Hey, Motherfucka !
C'est ainsi que se termina la saga mettant en scène John McClane, avec cet affreux ratage tourné dans les Pays de l'Est.
Tout y est mauvais: la réal, le scénario, la production design, les acteurs, les effets visuels, blah...
Après la fille de John dans le pas si mal Live Free or Die Hard, voilà venu le fils interprété par l'endive amère Jai Courtney...

Quasiment rien à sauver là-dedans et McClane de se retrouver au chômage depuis lors !

Annotation :

Ici, c'est simplement une arnaque totale à la Hidden 2: on reprend la dernière demi-heure du film précédent, on y greffe des scènes molles aux dialogues insipides et on te vend ça comme une séquelle...
J'en garde des séquelles et je sais qu'elle sait, que le silence est d'or, est d'or...
Alors je me tais.

Annotation :

Fils du déjà peu glorieux Halloween 5 (qui présentait un mystérieux personnage à la fin), voilà t-y pas que Myers fait en fait parti d'une secte !
What da hell ???
Ben oui, c'est insensé...

Le Producer's Cut - malgré plus de clarté structurelle- n'apportera rien d'exceptionnel quant à ce nouvel arc narratif débile.

Pourtant la saga continuera pendant 2 épisodes de plus (3 ans et 5 ans après celui-ci) puis un diptyque "remaké" continuera encore plus tard, avant de s'achever (à ce jour, soit 15/03/19) par une séquelle effaçant TOUS les Halloween depuis la sortie de l'original...

Annotation :

Non pas que son récit initial était malvenu, mais c'est surtout Bob "Le Fossoyeur" Weinstein qui viendra foutre le bordel dans cette première réalisation du maquilleur Kevin yagher (frère de Jeff, acteur dans la série "V" des 80's).

Celui-ci sera éjecté du film et c'est le docile Joe Chapelle (Halloween 6) qui viendra déplacer les meubles.

Mais même lui se barra et c'est le fantomatique Alan Smithee (super réal protéiforme comme la créature de The Thing) qui signera le montage final.

Bref, tellement la honte que c'est un pseudo qui finit le travail (il a aussi officié sur Supernova et même sur An Alan Smithee Film, c'est dire sa célébrité ^^)

Malgré cette chute dans les Limbes, H4 sera encore suivi de 5 DTV en plus...

Annotation :

Ici, c'est simplement une arnaque totale à la Silent Night, Deadly Knight 2: on reprend la dernière demi-heure du film précédent, on y greffe des scènes molles aux dialogues insipides et on te vend ça comme une séquelle...
J'en garde des séquelles et je sais qu'elle sait, que le silence est d'or, est d'or...
Alors je me tais.

Annotation :

Beaucoup considère Highlander II comme une purge, mais dans sa version Producer's Cut, il arrive quand même à se défendre (malgré plein d'incohérences). Il faut dire que le tournage fut chaotique (mainmise de l'assurance "garanti de bonne fin", peuplé de crétins ignares en cinéma et "créateur" du bazar concernant la Planète Zeist, accidents divers...) et que la version sortie a ciné en 1992, n'a jamais eu l'aval de son réalisateur.

Bref, tout ça pour dire que The Quickening mérite plus que sa triste réputation.

"Et le III, alors? Tu vas nous dire que tu l'aimes bien?" entends-je là-bas au fond.
Well, malgré toutes ses scories, ça reste encore regardable...

Mais ce Endgame...
Mix bâtard entre la saga ciné et la série TV, ce truc insondable est vraiment pénible à voir.
Pour tout dire, j'ai en fait oublié de quoi ça causait, pour dire !

Et pourtant...

Ils ont réussis à faire 100 fois pire (et je n'exagère pas le moins du monde) avec le sinistre Highlander:The Source...

Mais là, je ne veux même plus en parler, depuis que j'ai eu le malheur de le voir, il y a longtemps, dans une galaxie très très lointaine...

Annotation :

Oh my God, what a piece of shit !
Réalisé avec des moufles, écrit avec un plâtre intégral et interprété par des silhouettes en carton (dont l'une prend l'apparence de Sir Christopher Lee, quand même !), ce Howling II: Your Sister is a Werewolf (mais putain, il fallait oser un titre pareil !) est le premier d'une longue série d'accidents industriels.

Point.

Annotation :

Après les deux premiers films plutôt pas mal troussé, voilà venu un prequel hautement dispensable.
On veut nous faire peur avec un vieillard asthmatique et ça, je ne l'ai toujours pas digéré...
Rien ne va, là-dedans, disons le tout court.
Voilà, c'est fini puisque ça devait être "tout court" !

Annotation :

Donner une suite directe au film de Friedkin, voilà qui était suicidaire ! Et pourtant, la Warner n'eût peur de rien et donna son feu vert à ce projet casse-gueule...en 1976 pour le tristement lamentable et incompréhensible Exorcist II: Herectic !
W.P Blatty s'en sortira un peu mieux avec son Legion en 90, malgré les horribles exigences d'un autre fossoyeur cinéma, j'ai nommé James Fucking Robinson, via sa boite Morgan Creek (responsable du bordel de Exorcist The Beginning, retournage du Dominion de Shrader).
Parlez donc de Robinson à Clive Barker, il vous en dira des mots doux !

Mais pourtant le pire était à venir avec le euh...sequel faisant table rase de tous les autres films comme Halloween 2018 brillament dirigé par David Green alors qu'ici, le film est infiniment mauvais à cause d'un réalisateur qui n'y conn...ah ben non, c'ets Green aussi !
Comment a t-il pu se planter de la sorte ?

Believer fait passer Herectic pour un film admirable, c'est dire l'ampleur du naufrage !

Peut-être remplacerais-je Believer par Deceived (qui doit sortir en 2025) comme j'ai remplacé Heretic par ce Deciever...

Annotation :

Après l'excellent et émouvant film fondateur (le Cut Allemand est encore plus beau, débarrassé de ses atours "disco"), ce fut une horrible chose que de voir ce Chapitre suivant.

Prmeièrement, Bastien passe de brun aux yeux noisette à un blond aux yeux bleus (R.I.P Jonathan Brandis).
J'étais encore gamin à l'époque et laissez-moi vous dire que ça m'a fait tout bizarre.
Mais de plus, tout y est con comme un manche, gnan-gnan à pleurer et visuellement plutôt hideux.
En somme, un massacre comme en Picardie !

Les producteurs poussèrent quand même le vice jusqu'à produire un troisième Tome, que je n'ai jamais eu le courage d'affronter. Rien qu'en voyant la gueule en carton de ce pauvre Falcor, j'ai décidé que je ne cautionnerai ce truc en le regardant !

Depuis, le livre s'est refermé et Fantasia a disparu dans le Néant.

Annotation :

Lorsque Species sortit en 95, je fus ravi des trois quarts du film (un peu moins, dès lors que Sil devient "CGIesque").

Après le mésestimé Species 2 (sec comme un coup de trique derrière la nuque), la franchise devint DTV,( avec tout ce que ça induit: acteurs fades, mise en scène plate, SFX moyens, blah...) et se noya dans un conformisme pataud.

Et ce n'est pas Species 4 (quel titre inventif, non?) qui relèvera la sauce !
Depuis lors, plus de Species à étudier...en attendant un éventuel remake, qui sait...

Annotation :

The Lost World est l'exemple même de la séquelle ratée à (presque) tous les niveaux (d'ailleurs, je m'en vais baisser la note de ce pas).
Du merveilleux et intelligent film original, on passe à un affreux film opportuniste, basé sur un roman déjà bien pourri (le pire de Crichton, d'ailleurs) où on parachute des enfants têtes à claques dans un monde d'adultes idiots comme par permis.

De plus, on nous promet un T-rex en liberté dans la ville de San Diego et on se retrouve avec une paire de scènes cheaps, confinées dans une portion infime d'un quartier résidentiel.
Spielby réalise le film à contrecœur, car il ne souhaitait que le produire, voulant prendre un peu de recul avec Hollywood.
Pourtant, il s'est impliqué à tous les niveaux (écriture, production, blah...) mais le tout sonne faux, horriblement faux.
La scène avec les deux Rex est très chouette, mais c'est tout.
Une amère déception pour moi, et ce n'est pas l'horripilant JP III qui me remonta le moral.

Jurassic World mit bien longtemps à naitre et maintenant, Fallen Kingdom s'apprête à débarquer sur nos écrans.

Dites-moi, on a échappé à une série TV...Incroyable, n'est-ce pas ?

Annotation :

Après le très chouette épisode 2 et ses cascades dantesques, Lustig est prié de réveiller le flic qui dort.
Paf ! On lui tend un script où il y a du vaudou et les multiples producteurs viennent lui briser les noix avec leurs idées débiles.
Lustig se casse en cours de tournage et Joel Soisson (monteur de profession) vient combler les scènes manquantes.
Bref, un sacré bordel qui part dans tous les sens !
Lustig et Soisson refusant d'endosser la responsabilité de ce naufrage, c'est le Capitaine Alan Smithee qui vint redresser la barre (et s'écrasa sur la jetée des critiques).

Sacré Smithee, un as je vous dit !

Annotation :

Film incompréhensible et brouillon, cette resucée présentant Mathhew McConaughey et Renée Zellweger (quand même !) dans les rôles titres, laisseront la tronçonneuse prendre la poussière pendant 9 ans...avant que Bay ne vienne y passer un coup d'aspirateur curieusement bénéfique...

Annotation :

Visant les enfants pour vendre leurs jouets, Orion (qui déposa le bilan avant que le film ne sorte) se plante dans les grandes largeurs et nous jette un RoboCop discount niveau qualitatif, scénaristique, blah...
Pauvre Murphy...

Et c en'est pas le remake de Padilha qui aidera à relancer la franchise. Bien moins mauvais que ce 3 (pas trop dur, me direz-vous), le RoboCop 2014 est générique...

Annotation :

Tout ce qu'avait de précieux le premier ets tourné au ridicule dans cette sombre nullité - pourtant réalisée par Mary Lambert, comme l'original - et excepté l'interprétation de Clancy Brown, tout est pourri dans ce fim.
Le récit est vraiment lamentable, les persos caricaturaux, et les acteurs aux fraises, surtout l'insupportable Edward Furlong (que je n'ai apprécié qu'une seul et unique fois dans American History X) et la regrettée Darlene Fluegel qui joue ce qu'on lui dicte.
La fine st d'une connerie abyssale et gnangnan à souhait, un peu comme si Mickey Mouse avait sodomiser le Grand Méchant Loup...

Annotation :

Bashing à cause de son casting féminin, ce Ghosbusters 2016 ne me dégoûte pas pour ça, mais pour le mépris total de la franchise, ajouté à un féminisme lourdingue sans aucun fondement, à un humour pipi-caca de maternelle, à des créatures hideuses en CGI immondes et à une fainéantise de tous les instants, culminant avec le logo géant qui attaque les 4 crétines...
FUCK YA DEEPLY, FUCKERS !

Annotation :

"Speed...Gimme what I need..." chantait Billy Idol. Ici, what I need it's a good movie...but Cruise Control est con comme une moule, aussi animé qu'une huitre et du niveau intellectuel d'un bulot en phase terminale.

Jan de Bont saborde sa carrière (The Haunting et Tomb Raider 2 mettant fin à celle-ci), Sandra Bullock empilera les films moyens jusqu'à l'excellent Gravity en 2013 et Dafoe...Dafoe continue à alterner entre mouais et yay (5 films prévus pour 2023!)

Annotation :

Comme indiqué dans les comm ci-dessous, ce prequel m'a toujours indisposé par son manque d'intérêt:

- pourquoi nous raconter tout ça? La trilogie originelle se suffisait à elle-même. Mais c'est surtout parce que je me suis ennuyé avec la storytelling peu intéressante.

- Jar Jar Binks...Pourquoi inclure un personnage aussi débile et parlant en "petit-nègre"??? C'est - d'une part insultant car ça nous renvoit aux clichés xénophobes qui ont eu court de par le monde au XIXe et début XXe siècle - d'autre part, ça empêche de se concentrer sur ce qu'il raconte.
Enfin, ses lignes de dialogues m'ont toujours semblé dérisoires, cela dit...

- le tout CGI m'a fortement déconnecté du film (déjà que je n'accrochais pas à l'histoire)

- Darth Maul est iconique en diable mais il est balayé comme un tas de feuilles mortes en deux temps trois mouvements

- Liam Neeson se morfond tellement que ça m'a aussi contaminé (il a l'air de faire la queue aux Assedic)

Bref, il est heureux que Attack of the Clones (et pas Clone Wars, comme j'ai noté dans les comm' ci-dessous) ait un peu relevé le niveau (malgré un Yoda-boule de flipper) et que Revenge of the Sith a miraculeusement fait une jonction honorable avec A New Hope (vers la fin).
C'était loin d'être gagné après visionnage de ce sinistre Phantom Menace, je dois dire...

Annotation :

Jaùmes Cameron a été excellent en son temps...Puis vint la bénédiction pour Terminator Genysis, puis celle de l'adaptation de Gunmm (l'horrible Alita) et finalement, cette saloperie où le T-..non, le REV 9 (vraiment ???) se met à sauter sur les murs comme un Spidey au rabais...
Cameron est mort après Avatar, R.I.P Jim !

Annotation :

Black a réussi à faire pire que l'affreux Predators avec son insulte filmique où il vomit littéralement sur le mythe avec des chiens Predator (récupérés sur l'affreux Predators), des persos tronches de cons et un super Predator en CGI dégueulasse, sans oublier l'autiste kil é tro fors et décode la langue Predator en un claquement de cul...
FUCK AGAIN !!

Annotation :

Malgré d'affreuses scories dans le premier film (cet humour campy, c'est affreux!), la vision des Autobots/Decepticons se transformant via de magnifiques CGI m'avait grandement ébloui à cette époque!
Puis vint ce Revenge of the Fallen...
Et l'humour campy devint connerie abyssale avec ces deux crétins transformables, qui me foutent la haine à chaque fois que j'y pense!
Pourtant, la scène grandiose de l'autoroute ou encore celle du mega Decepticon (me rappelle plus le nom) valent leurs pesants de cacahouètes !
Oh, j'allais oublié: Shia Labeouf est insupportable, encore une fois !
Le Dark of the Moon me réconcilia avec cette saga, car moins axé sur la gaudriole (malgré d'inévitables écarts) et plus focalisé sur la catastrophe à grande échelle...

Les deux suivants... Pfff...