Incroyable, un "bon" film.

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Classique mais prenant, fin en demi-teinte.

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Grosse surprise, c'était putain de jouissif.

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C'est toujours bon de voir des robots taper sur des monstres, surtout quand c'est fait de manière décente.

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Syndrome de la fin de merde, mais sinon c'est plutôt cool.

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Je me suis vachement enthousiasmé pour rien pendant le film, aucune idée pourquoi. Du coup j'en garde un bon souvenir.
Par contre, aucune envie de le revoir, parce que ça ferait drastiquement baisser sa note.

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Moi qui ai l'habitude de descendre ce genre de merde, j'ai passé un bon moment. Va savoir.

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Sympa sans plus.

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http://www.senscritique.com/film/Doctor_Strange/critique/108805539

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En fait, dans ce film, t'as deux catégories de personnages : les fragiles et les autistes. Et le lien entre les deux catégories, c'est une tension sexuelle proche de l'explosion. Du coup putain, les interactions sociales tu sais jamais où ça va partir, mais t'es sûr que ça va finir sur du tendancieux tout en gardant une part de décalé malaisant sympathique.

T'as aussi un boss de Darks Souls en trois phases, un ornithorynque kleptomane fabuleux, un rhinoppotame en rut qui cherche un endroit où garer sa corne, un mormon fragile qui mange ses taquets dans la bouche, Johnny Depp en blond peroxydé qui crache cinq lignes pour toucher son chèque à cinq zéros, un sidekick enveloppé au rire diabolique et la valise nucléaire la moins cadenassée au monde.

Je dis oui.

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Alors, honnêtement, ç'aurait pu être mieux, mais sans chipoter, c'était bien.
Toute la partie déroulant l'autopsie fonctionne du tonnerre (ce flou permanent sur les causes de la mort alors que les indices s'accumulent sans mener nul part, là c'est effrayant, là ça te colle un certain malaise au bide), et même si ensuite l'intérêt chute un peu jusqu'à un final ma foi honnête pour un film d'épouvante, t'as passé un bon moment à voir les deux légistes en chier dans une situation que tu ne leur envie absolument pas.
Y a deux-trois jumpscares un peu random au début, heureusement ils disparaissent très vite ; c'est quand le film est posé qu'il fonctionne le mieux (on le voit bien quand on compare les scènes "calmes" aux scènes un brin putassières qui n'ont rien à foutre là)
En tout cas, la pellicule a rempli son office : j'étais loin de me pisser dessus, mais y a des passages qui déroulent crème, et l'enquête sur la mort de Jane Doe t'implique bien, te donne envie de savoir le fin mot de l'histoire (même si franchement je l'avais senti venir)

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C'était nul mais c'était bien.

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Je pensais pas que ça allait me divertir autant.

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Cumberbiatch, moi j'l'aime bien.

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La subtilité aux oubliettes, mais c'est joli, et assez fendard pour le coup (le noir qui s'évade grâce à du coton et la tasse de thé l'arme ultime de l'impérialiste colonialiste blanc oui oui)
Keskonsmarre, par contre celui qui me l'a vendu comme étant flippant jte retiens mec, le suspense c'est des gros sabots et la peur jla cherche encore.

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Merci à Fritz d'en avoir parlé dans sa critique, c'est beaucoup mieux que Free Fire dans le délire "Prank, ça tourne mal et ça mitraille"

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Des néons, des couleurs partout, Charlize Theron qui tue la moitié de Berlin Est, le doublo twist que tu vois venir dès le début, la narration qui se touche la bite pour rien, la bande-son quali totalement forcée et incohérente, les scènes d'actions à la qualité oscillante, ça se regarde une main dans le calbard entre deux trucs plus intéressants à faire mais c'est tout.
Après j'en attendais rien et j'ai pas regretté sur l'instant, on va dire que ça compte.

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Jme suis bien éclaté.

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Le prototype même du film lancé à deux heures du mat et dont tu n'attends rien, tu trouves juste la corrélation nazie des recommandations Netflix juste après avoir maté Dead Snow marrante, du coup tu lui donne une chance.

Et c'était bien. Entre les blagues plus ou moins sales t'as des messages qui passent, certains d'une manière plus fine que d'autres, mais toujours dans une ambiance cocasse, sans jugement. Un bon moment, totalement inattendu.

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J'avais beaucoup aimé Bons Baisers de Bruges de McDonagh, et même si ce deuxième film me reste sympathique, c'est pas le même niveau. Le gros plus c'est les acteurs, qui s'éclatent bien dans leurs rôles (en même temps avec des dialogues aussi cool tu m'étonnes), après le truc qui m'a fait décrocher c'est l'aspect méta, des fois c'était bien géré, d'autres fois moins, ça a au moins le mérite de tenter un truc.

Annotation :

C'est donc ça du vrai cinéma français ? La vache, c'est bon. Y a une certaine poésie qui se dégage de l'ensemble, c'est splendide. C'est pas le film du siècle, mais quel bonheur.

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Je m'attendais honnêtement pas à ce que ce soit aussi sympa ; ça bouge bien, c'est gentillet tout plein, ça file la patate, t'en ressors heureux.
C'est limité mais ça marche.

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Je me disais que ça allait être de la merde, forcément inutile après le premier, et en fait ça va. Bon il a aussi la chance de passer derrière ma déception de cette nuit (The Villainess et ses combats dégueulasses), mais je me suis pas ennuyé une seule seconde sur les deux heures du film.
Et puis à partir du moment où y a le contrat, la paranoïa constante est bien rendue ; limite un habitant de New York sur deux est un tueur à gages, c'est grotesque mais qu'est-ce qu'on se marre niveau poings dans la gueule.

Annotation :

La seule raison pour laquelle j'ai maté ce film, c'est Aubrey Plaza.
C'est ni vraiment mauvais, ni bon en fait, ça se suit sans déplaisir mais c'est convenu et attendu. La fin est sympa, le film a au moins réussi à capter la dégueulasserie ambiante d'instagram.

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Ah ouais, ils ont pas mal craqué leur benouze chez Marvel là. Y a beaucoup de problèmes, c'est totalement con, mais tu t'emmerdes pas une seule seconde sur deux heures de film, et c'est quand même assez rare les blockbusters sans passage chiant à crever ou gros forçage émotionnel nul, bravo.

Annotation :

L'ambiance pesante est superbement retranscrite par un travail de caméra bien foutu, les acteurs tiennent leurs partitions comme il faut malgré des dialogues pas toujours pertinents, et les montées en tension fonctionnent du tonnerre.
J'ai vraiment aimé The Invitation, malgré une fin pas folichonne, parce qu'il a réussi à capter toute mon attention ; j'étais vraiment dedans, et je sais pas si c'est au film en lui-même ou à des circonstances extérieures, mais le résultat est là.

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Les quinze premières minutes je savais pas où j'avais foutu les pieds tellement ça avait l'air nul, puis la première scène de baston arrive et là tu sais que ça va pas être hygiénique putain, s'ensuit une deuxième scène où c'est littéralement une demi-heure de boucherie indonésienne à base de lames dans les boyaux, et c'est bon j'étais refait, c'est exactement ce que je voulais voir.
Le scénario c'est deux lignes, les méchants c'est des boss de jeux vidéos, les bastons sont sanguinolentes à l'absurde et chorégraphiées parfois de manière hasardeuse mais le plus souvent au poil de fion, enfin bref, on s'amuse autant que ça s'émascule dans ce film (l'actionner avec le plus de castrations violentes du game jcrois d'ailleurs, ils savent s'éclater les indonésiens), bon gros plaisir régressif.

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Putain, c'était ... bien ? Non, vraiment, j'ai passé un super moment, bien plus que devant la plupart des films marvel sortis ces dernières années. Décomplexé du cul, fun juste ce qu'il faut, pas original pour un sou mais ça fait les choses bien, et vraiment beau malgré quelques petits passages aux saccades assez étranges, ce spider-man là démonte totalement les multiples reboots dégueulasses auxquels on a eu droit ces derniers temps. Validé, emballé c'est pesé.

Annotation :

Ça passe après Flatliners donc de toute façon la note est biaisée, mais bordel de merde j'ai trouvé ça étonnamment décent. C'est nul dans le genre passable, au vu des notes et des avis je m'attendais à largement pire, en l'état on a une comédie branlante qui force les vannes crades à tout va et qui réussit à t'accrocher quelques sourires au passage, ça fonctionne parfois quand t'es bon public niveau blagues bas du front.
Franchement au vu du projet tu peux pas en attendre plus ; c'est au moins un minimum distrayant, et honnête sur sa proposition.

Annotation :

C'est loin d'être dingue mais c'est sympatoche, plein de bons sentiments formatés, de punchlines nulles et de situations attendues, avec en point d'orgue une fin téléphonée que tu vois venir depuis la lecture du synopsis.
Réconfortant.

Annotation :

L'Artemis, c'est un hôtel privé dans lequel les criminels viennent se faire soigner quand rien ne va plus. On est en 2028, à Los Angeles, et cette nuit tout va mal tourner ; entre les violentes émeutes consécutives à la privatisation de l'eau potable par une megacorp, un casse qui finit en fusillade ou encore le débarquement du chef de la pègre piégé par un sac à main explosif, gérer le service s'avère plus difficile que prévu.
Et quand t'ajoutes deux-trois éléments perturbateurs venus chier sur les règles de l'hôtel, tu sais que Jodie Foster va passer une sale soirée.

Casting carré et ambiance aux inspirations rétrofuturistes sympatoche pour ce huis clos sans prétention, qui a malgré tout tendance à un peu trop se disperser dans des sous-intrigues pas pertinentes pour un sou.