Jeux terminés en 2014 (avec commentaires)

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Terminé pour la seconde fois, en mode Défi / Normal.

Après avoir terminé Nexus, je me suis dit que comme il était sympa et court, que le platine avait l'air rapide et facile, et que ça faisait longtemps que je n'avais pas eu une telle récompense, pourquoi pas le refaire vite fait pour chopper ledit trophée.
Tragique idée s'il en est. Le mode défi était sympathique oui, le platine facile également. Par contre devoir farmer comme un porc sur les armes et les boulons pour tout acheter et tout upgrader m'a juste donné envie de diviser ma note par 2 et d'arrondir à l'inférieur.

Recommencé le 18 ou le 26 Décembre je ne sais plus. Achevé le 02 Janvier, et re-recommencé le même jour pour farmer comme un débile, sans le finir cette fois heureusement.

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Terminé pour la première fois.

Un DLC modèle, assez classique dans son gameplay et son level design, mais qui apporte véritablement quelque chose à l'univers Bioshock et se conclut magistralement. A faire impérativement pour les fans.
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 03 Janvier. Terminé le 04 Janvier.

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Terminé la première fois.

Je sais même pas comment c'est possible de autant rater un jeu. L'idée de départ est pourtant plutôt pas mal : des mini-jeux dans l'univers Dead Space sur fond scénaristique intéressant. Seulement voilà, déjà les cinématiques sont hideuses, on dirait les dessins d'un enfant de 5 ans. Mais encore ça je pardonne, car l'histoire est assez intéressante et on va pouvoir choisir notre chemin à deux reprises, sachant que le tout ne se recoupe qu'à la fin. A la fin oui, qui est la même peu importe ce qu'on a fait avant. J'ai donc fait le jeu deux fois (masochisme aiguë quand tu nous tiens) et eu... deux passages différents totalement incohérents quant à la personnalité du héros, juste pour recoller à la fin. Donc en fait, même ça c'est de la merde.
Oui, car le pire dans ce jeu c'est le "gameplay", si tant est qu'il y en est un. Trois types de mini-jeux, tous aussi horribles, chiants, incompréhensibles et injouables les uns que les autres.
J'ai rarement "joué" à un truc aussi mauvais de toute ma vie.

Fait le 05 Janvier.

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Terminé pour la première fois.

Un petit jeu réalisé en 72h et donc dans des conditions qui forcent le respect. Néanmoins, il est très court et très frustrant durant ce laps de temps : à chaque échec, on doit se refarcir tout un chemin à pied, où y'a rien d'autre à faire qu'avancer. Et c'est juste trop chiant, d'autant que le jeu se compose de 4 Boss qui s'apparentent vraiment à du die & retry. Au final, c'est un petit jeu sympa mais qui gagnerait vraiment à être développé dans une version "extended", avec des donjons à la place des Boss et en supprimant les balades inutiles, sympas la première fois, insupportable quand on recommence pour la 15ème fois. A noter que la musique est vraiment top.

Fait le 12 Janvier.

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Terminé pour la première fois.

Petit jeu gratuit réalisé en 72h, qui a terminé derrière Titan Souls mais que j'ai préféré. Le mode normal se finit très vite et n'a pas vraiment d'autre intérêt que la découverte du concept, aussi intéressant qu'il soit. En revanche, le mode difficile apporte du challenge et une seconde vie à ce jeu flash très sympathique.

Fait le 12 Janvier.

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Terminé pour la première fois.

Un build sympathique, qui profite d'une DA tantôt trop lisse tantôt très inspirée, de musiques belles mais redondantes, d'un level design bien foutu mais mal pensé. Temple of the Sun, c'est un peu ça en fait : pour chaque point positif, on trouve un point négatif. Néanmoins, le positif domine, et la générosité de la petite buildeuse Française pousse le jeu vers le haut.
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 12 Janvier. Terminé le 16 Janvier.

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Terminé pour la première fois, en coop, mode normal.

Assurément un super FPS console, original, délirant et souvent assez fun. Son extrême difficulté, même à deux joueurs, oblige à être toujours aux aguets, une simple mort signifiant la la perte définitive du joueur jusqu'à la fin du niveau (ou jusqu'au checkpoint, mais il y en a maximum un par niveau). Cela implique donc la mise en place de stratégies assez jouissives. Malheureusement, certains niveaux sont clairement en dessous, soit de par leur intérêt quasi nul (Chicago) ou de par leur level design archaïque (l'île et son seul checkpoint de merde placé à 5min sur un niveau de 30min hyper hardcore).
On a aussi testé le mode arcade, ultra nerveux, incroyablement complet et qui a l'air d'être assez énorme. Dommage que les meilleurs modes ne se débloquent qu'en finissant le jeu en hard.
Au final, c'est un FPS véritablement frais, dont je ne peux que déplorer l'absence sur les consoles actuelles et futures. Surtout qu'il n'a absolument aucun concurrent, et donc aucun remplaçant. Triste.

Commencé le 17 Janvier au soir. Terminé dans la nuit du 8 au 9 Février (achevé en trois soirées au total).

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Terminé pour la première fois, en mode difficile.

Un jeu enchanteur, exigeant, long, complet et varié, aux innombrables qualités. Il pèche seulement par son histoire, un peu trop classique, et son game design de placement des ennemis, pas toujours optimal. Passé cela, c'est un émerveillement continu ponctué par une narration extra et une patte artistique assez incroyable.
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 8 Janvier. Terminé le 12 Février.

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Terminé pour la première fois.

Un jeu court, mais beau et envoûtant. L'OST est extra et le voyage prenant. Il est simplement dommage que le game design du jeu soit aussi peu travaillé : il y a de super idées, mais soit elles sont trop exploitées, soit pas assez. C'est vraiment dommage, car avec un meilleur game design le jeu aurait pu être vraiment excellent. En l'état, il reste un très bon petit jeu, qui ne mérite aucunement les acharnements dont il a été victime à sa sortie. Car même si la comparaison est difficile, et contrairement à ce qu'on dit ici et là, il n'a absolument rien à envier à Ico. Au contraire même aurais-je envie de dire.

Commencé le 13 Février. Terminé le 14 Février.

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"Terminé" pour la première fois.

Je ne l'ai pas vraiment terminé, puisque je suis loin d'avoir tout débloqué. Néanmoins, BTN est vraiment très lourd et mal optimisé, assez peu réactif et pas très bien foutu. Pourtant, il y a l'air d'avoir pas mal de contenu, et l'univers est fidèle à la série, mais on ne peut vraiment pas dire que ce soit passionnant à jouer.

Commencé le 11 Janvier. "Terminé" le 18 Février.

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Terminé pour la première fois, mode difficile.

Un DLC court et très haché. Le jeu est toujours aussi magnifique, notamment lors des cinématiques où les animations sont assez extraordinaires. Seulement voilà, Left Behind n'apporte absolument rien à The Last of US : tout ce qui s'y déroule, on le sait déjà. Alors oui, tout ce qui est fait est très bien fait, le jeu comporte un challenge appréciable et les phases où les bad guys affrontent les infectés sont très bien foutues, mais je serais quand même un peu deg si je l'avais payé 15€.
Ah oui, et j'ai trouvé la fin très décevante : c'est quand même vachement facile de s'arrêter là...

Commencé le 18 Février. Fini le 19 Février.

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Terminé pour la première fois.

Un super voyage, une épopée dont je me souviendrai, mais aussi et surtout un des jeux les plus overhypés de 2013 (et pourtant y'en a eu un paquet). Le voyage est certes magnifique, mais tout reste assez convenu et prévisible, même si bien fait, que cela soit au niveau du gameplay ou de l'histoire.
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 17 Février. Terminé le 19 Février.

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Terminé pour la première fois.

Un jeu excellent, au gameplay riche et profond.
Bien que long (11 heures pour ma part), Mark of the Ninja se renouvelle constamment, tant au niveau du gameplay que des environnements et des situations de jeu. Un modèle du jeu d'infiltration, couplé à un modèle de scoring : avec ses classements mondiaux (et surtout entre amis) le jeu encourage à se surpasser pour réaliser les niveaux avec le meilleur score possible (surtout quand on voit qu'il est possible de facilement faire le double de Gag, ça devient un challenge en soi ! :siffle:).
Malheureusement, j'ai deux reproches assez gros :
- Le scénario est vraiment mal amené, du coup on s'en tape sévèrement. Mais dans le dernier tiers, le jeu insiste beaucoup dessus, comme si c'était important. Et vu la fin, à la fois énorme et ratée, c'était important. Vraiment dommage que le scénario n'ai donc pas eu le droit à un traitement à la hauteur.
- De nombreux bugs, dus au nombreuses possibilités de jeu, m'ont ennuyé durant mon scoring : checkpoint qui te font réapparaître devant un ennemi en pleine lumière (= t'es baisé) ou encore corps camouflé qui marche une fois de temps en temps, bref le genre de trucs un peu relou quand on essaye de vraiment parfaire son score.
Rien qui n'entame toutefois sérieusement l'immense plaisir de jeu que procure régulièrement Mark of the Ninja.

Commencé le 20 Février. Terminé le 09 Mars.

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Terminé pour la première fois, mode difficile.

Un DLC qui fait tout ce qu'on peut lui demander, en plus de conclure définitivement la série sans se planter. Autant dire qu'après la partie 1, c'était inespéré.
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 26 Mars. Terminé dans la nuit du 27 au 28 Mars.

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Terminé pour la première fois.

J'ai fait le jeu en Fighter, et je pense que c'était une erreur. Au début, j'hésitais entre elf et sorcer, deux classes soit disant pour joueurs experts. M'attendant à un beat très exigeant, j'ai donc opté vers une classe plus classique et plus accessible... en réalité extrêmement simpliste et limitée. Cette classe m'aura rongé une bonne partie de mon plaisir de jeu, d'autant plus qu'une fois le jeu terminé j'ai tenté de faire quelques trucs en elf, et sérieusement ça a l'air TELLEMENT MIEUX niveau gameplay. Et loin d'être fait pour les experts, donc ça craint.
Mais bref, sinon le jeu est juste extraordinaire artistiquement parlant, comporte une histoire très basique mais sympathiquement racontée, un univers fort mais un contenu assez rachitique, dommage.
Je mets 8 en attendant d'y jouer en multi et avec d'autres classes, là où le jeu doit vraiment puiser sa force. C'est un peu une note par anticipation.

Commencé le 12 Mars. Terminé le 29 Mars.

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Terminé pour la première fois.

Un build qui reprend TR1, excellentissime de par ses ajouts très pertinents au Pérou (moins la Vallée Perdue), mais qui malheureusement ne change que très peu de choses par la suite (rien du tout en Grèce par exemple). Au final, le début du jeu fait miroiter des promesses dont il n'est rien, mais vu la qualité de TR1 à la base, TR1R reste forcément très bon tout du long, malgré son terrible manque de nouveauté sur la longueur.
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 16 Janvier. Terminé dans la nuit du 29 au 30 Mars.

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Terminé pour la seconde fois, en mode 1999 sans dollar bill, et platiné par là-même.

Quel dommage que tout le jeu ne soit pas à la hauteur de son premier tiers ! Avec des combats mieux distillés, des ennemis plus variés, de plus grandes zones à explorer et de meilleurs vigors, Bioshock Infinite aurait été un des plus grands jeux de tous les temps !
Ce second run m'a donc confirmé tout le positif que j'en pensais, ainsi que les quelques points négatifs associés. Ça reste un chef d'oeuvre pour moi, même si la grandeur qu'il aurait pu avoir et qu'il n'a pas toujours reste frustrante. Mais cette narration parfaitement maîtrisée du début à la fin, quelle claque à chaque fois.

Commencé le 5 Avril. Terminé le 18 Avril.

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Terminé pour la première fois.

Une agréable surprise que ce Carnage Céleste. C'est bien simple, je pense qu'il est difficile de faire mieux en termes de combat en arène : level design évolutif et très bien foutu, défis variés et intéressants, bonus à débloquer loin d'être négligeables... Pour 5€ ou pour 20€ avec le Season Pass, c'est vraiment une bonne pioche pour les amateurs.
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 18 Avril. Terminé le 22 Avril.

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Terminé pour la première fois, mode difficile.

Sous le charme de sa direction artistique dès son annonce, j'avais un peu peur que Child of Light ne soit qu'une coquille vide. Au final, au-delà de quelques défauts pas bien gênants, c'est un un jeu sur lequel j'ai pris beaucoup de plaisir, et un conte qui m'a régulièrement émerveillé et m'a laissé avec des étoiles dans les yeux, bien qu'il eut pu être encore meilleur avec un peu plus de temps de développement.
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 29 Avril. Terminé le 09 Mai.

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Terminé pour la première fois.

Je crois que j'ai passé autant de temps à essayer d'émuler correctement la Dreamcast qu'à jouer à ce jeu. Quelle idée aussi de faire un jeu indé Dreamcast / Neo Geo en 2012, sérieusement... ?
Mais contre toute attente, GunLord est un énorme coup de cœur. Bien qu'imparfait (quelques stages sans Boss, quelques bugs), c'est un run & gun de type metroidvania assez bien foutu, au gameplay assez difficile à prendre en main mais assez jouissif une fois maîtrisé. Le level design ne se répète jamais tout au long des 9 stages et possède de nombreuses idées astucieuses. Et puis la musique de Rafael Dyll déchire tout, comme d'habitude <3
Voir ma critique pour en savoir plus.

Lancé pour la première fois le 20 Avril. Réellement commencé le 11 Mai. Terminé le 14 Mai.

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Terminé pour la première fois.

Transistor est beau. Transistor est enivrant, musicalement très bon et jouit d'une ambiance exceptionnelle. Transistor est original. Transistor possède un propos et un scénario intéressants.
Mais Transistor est également très répétitif. Transistor est court et se renouvelle peu. Transistor crashe régulièrement et ses nombreux retours bureau sont extrêmement irritants.
Mais Transistor reste un jeu indépendant unique, fruit d’énormément de travail et de réflexion de la part de Supergiant Games, et ce n'est déjà pas rien. Un petit coup de cœur.

Commencé le 22 Mai. Terminé le 29 Mai.

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Terminé pour la première fois (Gold Edition).

Vu les éloges de mes éclaireurs (8.5 de moyenne tout de même), j'attendais beaucoup de Gucamelee. Et je n'ai (quasiment) pas été déçu !
Guacamelee est certes beau et comporte moult sonorités agréables, mais ce qui a retenu mon attention est tout autre : c'est un jeu racé, qui demande beaucoup de skill pour être terminé, mais du skill (presque) toujours parfaitement juste. C'est bien simple, chaque bouton a son utilité, et chaque utilité peut être combinée avec une autre. En résulte des passages de plateforme démentiels (dans tous les sens du terme) et des combats qui, malgré la légère répétitivité des ennemis, restent punchy et intéressants tout le long du jeu. Le level design, qui comprend moult passages secrets, est également recherché et hyper pertinent au sein d'un monde ouvert cohérent et qu'on ne se lasse pas de découvrir.
Malheureusement, j'ai trouvé Guacamelee vraiment court : moins de 6h pour en voir le bout, en galérant sur certains passages et en effectuant un bon paquet des missions secondaires du jeu, c'est couuuuuuuuuuurt. D'autant plus court qu'on en voudrait tellement plus ! C'est une sensation que j'ai rarement, mais à peine le dernier pouvoir dévoilé que le jeu se termine, alors que j'en aurais aimé tellement plus ! En l'état, il vaut mieux un jeu court et passionnant qu'un jeu long et qui finit par tourner en rond, mais un ou deux levels en plus, vu leur taille, m'auraient satisfaits.
Enfin, pas un défaut mais une imperfection à améliorer pour une éventuelle suite selon moi : toutes les compétences ne se combinent pas. Ainsi, par exemple, si on saute en étant une poule, et qu'on se remet luchador en l'air, impossible alors d'effectuer une quelconque action : on est voué à s'écraser au sol. Je chipote certes un tantinet, mais devant un jeu qui offre tant au niveau du gameplay, c'est dommage de limiter le champ des possibles si proche du maximum !
Ah oui, et l'humour du jeu est énorme aussi (bien que peu présent, vu la durée de vie, forcément).

Commencé le 28 Avril, mais repris uniquement le 31 Mai. Terminé le 04 Juin.

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Terminé pour la première fois (World Tour).

Un jeu bourré de bonnes idées et possédant un level design souvent vraiment top, mais malheureusement plombé par un game design lamentable sur de trop nombreux aspects. En somme, il avait tout pour être un jeu génial, mais ça ne marche finalement pas (ou trop peu). Quel dommage.
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 3 Avril. Repris le 5 Juin. Terminé le 15 Juin.

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Terminé pour la première fois.

Soldats Inconnus est un jeu qui m'aura soufflé. Pour des tonnes de raisons, et malgré certains défauts d'apparence assez évidents, rien n'a altéré mon "enthousiasme", et j'ai vécu l'aventure d'une traite (et ce même si sur plusieurs jours), complètement suffoqué par la Grande Guerre. Le travail de reconstitution est titanesque, et l'aventure est tour à tour belle, triste ou épique, mais toujours touchante, à sa manière.
Il ne touchera pas tout le monde pareil, mais c'est assurément un coup de cœur énorme, en ce qui me concerne.
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 25 Juin. Terminé le 29 Juin.
Refait du 28 Août au 11 Septembre.

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Terminé pour la première fois, dérivations A, B et C.

Malgré de nombreux défauts évidents, notamment techniques, Drakengard 3 possède des personnages uniques et géniaux, des musiques excellentes et un gameplay à revoir mais qui n'est pas sans jamais donner de plaisir. Un jeu assurément unique et atypique, comme ses prédécesseurs, qu'on ne peut que conseiller aux curieux n'ayant pas peur de jouer à un simili de jeu PS2 émulé sur PS3.
Voir ma (longue) critique pour en savoir plus.

Commencé le 18 Juin. Dérivations A et B terminées le 10 Juillet. Dérivation C terminée le 12 Juillet. Arrivé au Boss (impossible) de la dérivation D le 16 Juillet.

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Réellement terminé pour la première fois (même si j'avais déjà tout fait, sauf les trois derniers niveaux du dernier monde, fin 2012), mode Hurt Me Plenty.

Quand j'ai lancé Doom pour la première fois, fin 2012, je me suis pris une claque monstrueuse. Musiques géniales, gameplay simple mais jouissif, et surtout level design dantesque m'ont explosé à la face. En le refaisant, je ne me suis pas repris la même baffe et, même si j'ai adoré y jouer, l'expérience fut un peu moins marquante. Au rayon des défauts, je citerais une DA des fois superbe, des fois un peu trop criarde, et des ennemis qui se renouvellent forcément trop peu tout au long du jeu (ils sont tous dans le premier monde), pouvant créer une certaine lassitude lors d'un trop long temps de jeu. En second run, mon ressenti tend donc plutôt vers un 7+. Mais à part ça, Doom est immanquable pour tout les joueurs souhaitant acquérir une culture vidéoludique, et pour tous ceux désirant jouer à un jeu qui revient aux basiques du média : une musique, un gameplay et un level design de génie, et on s'éclate comme pas possible. Un jeu comme on en fait plus.

Commencé le 6 Juillet. Terminé le 03 Août.

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Terminé pour la première fois.

Pour mon avis sur Doom, cf. ci-dessus.
Ultimate Doom rajoute un monde au jeu de base, Thy Flesh Consumed. Celui-ci est bon, mais pas aussi bon qu'on aurait pu l'attendre, si on re-contextualise un peu (Ultimate Doom sort un an après Doom 2 et deux ans après le premier). Le level design est des fois très bon au niveau structurel, en revanche il pèche bien trop souvent par sa gestion chaotique des ennemis : c'est bien simple, on a l'impression que le level designer a laissé sa souris enfoncée sur certaines parties de l'éditeur de niveau au moment d'ajouter les ennemis, ou bien qu'il a lancé un algo random permettant de remplir les niveaux à fond d'ennemis qui n'ont des fois rien à faire là. Dans le Doom originel, chaque ennemi avait sa signification, il y en avait donc peu mais ils étaient bien dosés et bien amenés. Ici les ennemis sont trop souvent croisés n'importe comment entre eux dans de gros gangs bangs sans cohérence. Au début c'est relou car on manque d'armes et de munitions, ensuite c'est relou car on est invincible, et donc cette surdose n'a aucun intérêt. Heureusement que certains niveaux possèdent de très bonnes idées de level design, qui rattrapent souvent cette gestion chaotique des ennemis.
8+ pour le jeu de base donc, 7 pour Thy Flesh Consumed. Un gentil 8 pour le total.

Commencé le 6 Juillet avec Doom (Thy Flesh Consumed commencé le 4 Août). Terminé le 13 Août.

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Terminé pour la première fois, mode normal.

Il était temps ! J'ai donc enfin fait Silent Hill. Pour commencer, il ne vole absolument pas sa réputation : ce jeu est putain de creapy. Dès le début, l'ambiance est sensationnelle, et j'ai piqué un certain nombre de sprints dans la ville en évitant de regarder autour de moi. Mais le summum du jeu arrive selon moi à l'école, qui est un niveau complètement fou : les bruitages sont terribles, la musique atroce, l'obscurité et les monstres qui y rodent terrifiants. Je me suis vraiment senti mal en y jouant, et j'ai rarement pu dépasser l'heure et demi de jeu au début. Un petit mot sur les énigmes du lieu, très bien foutues et très agréables. Le game design du level est en fait juste parfait, et le passage en dark world omg, mais juste OMG. Tellement crade de fou furieux de bordel de glauque de merde. Un traumatisme à lui tout seul.
Malheureusement, avec une barre mise aussi haut et aussi rapidement, on pouvait s'attendre à une baisse de régime, et c'est bien ce qui se passe. L'hôpital est également très bien foutu, mais fait beaucoup moins peur (les infirmières sont easy par rapport aux gosses), d'autant plus qu'on est désormais habitué. Et le jeu ne ressortira de cette habitude qui s'installe que lors de rares moments réellement flippants, moments qui jalonnent quand même l'aventure régulièrement.
Le vrai problème dans tout ça est que l'histoire telle que racontée est vraiment nulle et clichée. Alors bien sûr, une fois approfondie (merci SH France) elle révèle ses subtilités et gagne en intérêt (sans être dingue non plus), mais cela reste ma plus grosse déception du jeu : on se fout de plus en plus de l'histoire au fur et à mesure où l'on avance, les quelques cinématiques ou cut-scenes ne relançant l'intérêt que vaguement. Et du coup la fin manque vraiment d'intensité. Le Boss final (bad ending :() est vraiment pété, on termine le jeu et voilà. C'est tout. Une fin maîtrisée peut vraiment transcender un jeu moyen comme une fin ratée peut plomber un excellent jeu. Ici, ce n'est pas vraiment raté, mais simplement pas aussi bon que ça aurait du l'être, à mon sens.
SH reste malgré tout cela une expérience totalement unique, à faire impérativement.
Ne pas voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 18 Août. Terminé le 28 Août.

Annotation :

Terminé pour la première fois.

Ce DLC est une blague... Se déroulant avant l'aventure principale, il est centré sur le personnage de One et sur son frère. Les quelques cinématiques sont plutôt pas mal, et on pense rapidement qu'on va devoir aller dézinguer le mauvais Lord de Cathedral City, puisque ça semble être la mission principale de One.
Eh bah non, finalement ce chapitre s'arrête au bout de 3 missions toutes nulles et répétitives, d'autant plus que One ne sait manier qu'un Chakram, qui est sûrement la pire arme du jeu. On s'ennuie donc très rapidement, le game design de ces chapitres étant de plus réellement catastrophique.
Bref, court, chiant et inutile. A titre personnel je ne l'ai pas payé (il était inclus dans l'édition collector), mais quand on pense que lui et ses semblables valent 6€ pièce... Une putain d'escroquerie en bande organisée.

Fait en deux fois, les 12 et 18 Septembre.

Annotation :

Terminé pour la première fois.

Grosse déception que ce build de TR4. Sans univers ni histoire et donc uniquement orienté gameplay, Climb Up oublie également au passage de développer une ambiance et une direction artistique, mais souffre aussi et surtout d'un game design classique et sans inspiration pour du Tomb Raider. S'il n'est pas désagréable à jouer ni mauvais en soi, l'ennui n'est jamais loin pour qui a déjà passé des centaines d'heures sur la série...
Voir ma critique pour en savoir plus.

Commencé le 5 Septembre. Terminé le 1er Octobre.