Les BONS remakes

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Pour qui a grandi avec ce Freaky Friday, associant deux actrices en roue libre (elles sont à fond) à une playlist super rock : ce film est une descente de montagnes russes (levez les bras).

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Parce qu'on a pris un pied phénoménal après s'être fait avoir comme des bleus (on n'avait pas vu le japonais). La patte Hazanavicius fait un bien fou.

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Animation sublime, doublages VF et VO au poil (les deux se valent), avec peu de chansons (hallelujah), une revalorisation des personnages féminins, et une vraie fin. On le préfère cent fois au dessin animé.

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Cary Grant. Ah, parce qu'il faut un autre argument ?

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Quand on donne des sous à Burton pour développer son moyen-métrage, cela donne ce petit bijou d'émotions au style visuel rétro très agréable.

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Jeff Goldblum, qui nous fait transpirer pour deux raisons différentes en début et fin de film. Plus-value +1000%.

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Le film que méritait le roman, ni plus ni moins, soit une merveille.

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Ca va, Anderson ? Milady peut vous prêter son mouchoir, pour essuyer vos larmes...

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On ne pense pas forcément à ce remake, mais on l'inclue exprès : Un Mari Idéal de Oliver Parker dépoussière et dynamise un classique du cinéma tiré d'une pièce Oscar Wilde, qui était vraiment assommant et pompeux. Parker le vulgarise, lâche Rupert Everett au milieu (qui cabotine à fond), résultat : on ne s'ennuie pas !

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Sans valoir la version avec Dustin Hoffman et Steve McQueen, ce remake modernise l'oeuvre (une coupe de 30 minutes, et plus de rythme) et est loin d'être boiteuse : le binôme de tête d'affiche fonctionne !

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Quelle surprise ! On y allait en boudant, et rapidement on a vu combien ce Hellraiser se décarcasse pour nous proposer un film plus tourné vers le public ado, sans pour autant prendre les adultes pour des billes : costumes magnifiques, trucages soignés, nouvelle "Cheffe" des créatures (qui n'a rien à envier au fameux Pinhead, elle est sublime !), scènes assez tendues, fidélité à l'univers... Non vraiment, un beau lifting bien fait.

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On a beau préférer l'interprétation de Tim Curry, ce remake file les chocottes et installe son nouveau clown avec une aisance étonnante. Top !

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L'original très "anti-coco" et religieux, dans le jus de l'époque, avait besoin d'être remis à jour, alors Spielberg l'a fait, et pas trop mal, en plus.

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Idem, Spielberg s'attaque à sa comédie musicale de coeur (on avait un magazine de 2004 qui parlait déjà du film... La gestation a été longue, Steven, beau bébé !). La scène du toit qui est adaptée pour la rue, et en plein soleil, faisant éclater les couleurs des robes, et les danses virevoltantes des hommes : notre scène préférée.

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Parce que, qu'on se le dise, "La Chose venue d'un autre monde", avec la bestiole qui est un gars qui marche au ralenti, ça ne faisait vraiment plus peur depuis longtemps... Carpenter a remis les curseurs de l'horreur à niveau.

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Sensible, émouvant (Beth... Pourquoi, mais pourquoi... On ne s'en remettra jamais), servi par un merveilleux casting, et une photo aux petits oignons, ce remake de Greta Gerwig a tout pour plaire.

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Attention, plaisir coupable (surtout que les précédentes versions ne sont pas mirobolantes...), on ne vous le recommande pas objectivement, mais subjectivement : envoyez la musique.

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Y'a pas photo, avec l'original...

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Refaire un film plan par plan, chronométré à la seconde près ? C'est tellement stupide que c'en est brillant. Le film n'a aucun autre atout, si ce n'est d'exister, pour la science.

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Nettement plus débile que l'original, et on a honte, mais on préfère. Les clés incompréhensibles de la voiture ("Il fait quoi, le muffin ?" / "Aucune idée." / "Pourquoi il y a une croix nazie, là ?" / "On n'appuiera pas dessus."), le GPS qui hurle en japonais, quelques vannes nulles mais qui marchent, et une chanson-thème qui décoiffe. Régressif, mais amusant.