Lus en 2012

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Le roman événement d'un romancier américain qui mérite sa renommée grandissante. Il aborde de nombreux thèmes forts, dont la préservation de certaines espèces animales, l'amour et l'histoire des Etats-Unis. Et il aborde avec un certain culot la question de la démographie galopante sur la planète. Construction littéraire originale. La longueur peut rebuter (près de 800 pages pour l'édition de poche) mais la fin mérite l'effort.

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Livre lu après avoir vu le film. Un film dont l'ambiance générale m'a impressionné. Et, fait rarissime, j'ai tellement apprécié le livre que j'ai revu le film ensuite. Le roman est particulier, avec des phrases très courtes et un minimum de ponctuation. Ambiance post-apocalyptique où il n'est plus question que de survivre. D'autant plus fort que le vocabulaire, d'une richesse insoupçonnée, apporte l'humanisme que l'auteur incite à sauvegarder coûte que coûte.

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L'histoire en elle-même n'est pas le plus important, les personnages et péripéties étant celles de la construction d'un pont. Pour moi, ce livre est la découverte de la façon unique de s'approprier la langue française. Voir ma critique :

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Jean Echenoz est un magicien du langage. Il est capable de placer des réflexions totalement incongrues au détour d'une phrase faisant avancer son intrigue. D'autre part, il joue avec son lecteur en annonçant en quelque sorte le programme et en le surprenant malgré tout. Voir ma critique :

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Le premier roman (7+) d'un espagnol qui a de l'imagination et un culot monstre. Il assume parfaitement le titre choisi. Un livre très habilement construit. Facile à lire, agréable et surprenant. Voir ma critique :

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J'avais entendu beaucoup de bien de l'auteur et le titre me faisait saliver. Finalement ce serait un 7- mais le roman contient de bonnes choses. Je ne regrette pas de l'avoir lu. Voir ma critique :

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Patrick Modiano est un auteur dont j'aime beaucoup le style. Il distille toujours des ambiances nostalgiques et mystérieuses et emmène son lecteur dans des intrigues sinueuses mais naturelles. Paradoxalement, ce qui m'a déçu dans ce roman ouvertement autobiographique, c'est qu'il en dit trop à mon goût. Je vois désormais un peu trop d'où viennent ses personnages de fiction et ses histoires parfois rocambolesques.

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Un roman représentatif de la littérature gay. La vision de la société américaine par un homo qui ne s'en cache pas est très intéressante car vue sous un angle inhabituel. C'est à la fois incisif et très lucide. Pas mal d'humour et une lecture très agréable.

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Philby est un personnage historique réputé comme un espion insaisissable. Robert Littell en fin connaisseur des services d'espionnage américains et russes a mené une enquête rigoureuse. Il livre sa version de ce qu'a pu être l'enchainement des circonstances ayant fait de Philby ce qu'il est devenu. Voir ma critique :

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Edward Abbey était le grand écrivain de la contre-culture américaine. Il s'est battu avec ses armes pour défendre les paysages grandioses du grand ouest américain contre le dégradation par la civilisation, celle-ci étant symbolisée par les immenses panneaux publicitaires. Voir ma critique :

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Erlend Loe est un auteur norvégien qui a d'abord fait dans la littérature jeunesse. Cela se sent dans ce roman au titre bien adapté. Des réflexions intéressantes par un personnage central qui peine à trouver sa place dans le monde moderne. J'ai néanmoins été un peu déçu par rapport à "Doppler" que je maintiens dans mon Top 10 livres. Voir ma critique :

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Haruki Murakami a une réputation extraordinaire. J'ai choisi ce roman pour son titre. Une ambiance très particulière et une note moyenne (6+) car l'ambiance est assez pesante. Tout compte fait, j'étais content d'arriver au bout pour passer à autre chose de plus réjouissant.

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Un petit livre qui peut se lire rapidement car présenté comme un roman avec de courts chapitres. Mais il peut aussi se déguster et se méditer, car c'est un ensemble de réflexions à caractère philosophique sur tous les aspects de la vie. Hautement recommandable !

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Un grand classique (un court récit) de la littérature américaine. Réflexion sur ce qui peut motiver un écrivain. Henry James laisse entendre qu'un écrivain digne de ce nom a une idée derrière la tête. Bien entendu c'est au lecteur de dénicher cette idée cachée !

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Un roman policier italien des années 60. Intrigue très bien menée avec un suspense qui ne se dément jamais. Des enfants ont massacré leur institutrice, mais personne n'a rien vu... Roman social avant l'heure.

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Pour l'ambiance et quelques passages d'une fulgurante beauté. James Lee Burke est l'auteur que Bertrand Tavernier a adapté pour son film "Dans la brume électrique".

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Du même auteur, j'avais apprécié l'année précédente "La maison où je suis mort autrefois". Je n'ai que moyennement apprécié celui-ci.

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Un livre qu'on m'a offert. Lu rapidement. J'ai ainsi découvert un écrivain bien connu des médias. J'ai été agréablement surpris. Un livre qui se lit bien et que j'ai trouvé intelligent.

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Un livre que j'ai acheté à l'inspiration. Une certaine qualité de narration, mais je n'ai pas été passionné. Petite erreur de casting.

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Auteur recommandé par un ami passionné par la littérature asiatique. Un univers particulier où l'étrange surprend. J'ai néanmoins l'impression que ce n'est pas le meilleur de son auteur. J'essaierai autre chose !

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J'avais découvert Tony Hillerman l'année dernière. Tony Hillerman écrivain de la minorité indienne aux Etats-Unis qui place ses intrigues policières dans le territoire qu'il connaît. Pour celui-ci, j'ai eu du mal à m'immerger dans l'intrigue et je reste sur une déception.

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Ce recueil de nouvelles d'un jeune écrivain canadien m'a scotché. Il y a beaucoup de vie dans ses histoires souvent centrées sur des sportifs. La violence ressort par moments dans toute sa crudité. Deux de ces nouvelles ont été très librement adaptées par Jacques Audiard pour son film. A mon sens, le livre est nettement meilleur que le film.

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Y a-t-il besoin de présenter James Ellroy ? Un ton unique et la plongée dans les bas fonds de Los Angeles pour une enquête policière très prenante.

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Un roman d'un petit éditeur qui a retenu mon attention en librairie. Le ton est intéressant et cela se lit plutôt bien. Roman noir dont j'espérais néanmoins un peu mieux.

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Littérature nordique policière. Moins bon que Mankell à mon avis, mais je ne regrette pas de l'avoir lu.

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Le premier roman (7+) d'un espagnol qui a de l'imagination et un culot monstre. Il assume parfaitement le titre choisi. Un livre très habilement construit. Facile à lire, agréable et surprenant. Voir ma critique :

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Un court roman intéressant dont la situation de base m'a rappelé le début du film "Locataires" de Kim Ki-Duk : un homme réalise qu'une femme squatte son appartement à son insu.

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Le livre qu'il faut avoir lu d'après un petit éditeur très enthousiaste de ma ville. Agréable oui, mais je n'en ferai pas cadeau à tout mon entourage pour autant.

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Publication originale en 1942 aux éditions de Minuit. Oeuvre d'un résistant pour laquelle on peut avancer que l'histoire est trop belle pour être vraie. Je parle de la nouvelle-titre qui fait 45 pages. C'est d'une rare puissance de suggestion. L'histoire a été adaptée au cinéma : le tout premier long métrage de Jean-Pierre Melville. Vu depuis, mais trop tôt après ma lecture.

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Mes préférées : Double assassinat dans la rue Morgue - La lettre volée - Ligeia - Morella - Dans le Maelstrom - La vérité sur le cas de M. Valdemar