Piquouses et blouses blanches

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Jeune interne, fils à papa malgré lui, j'ai bien aimé le personnage de Benjamin, empreint d'éthique et de respect des patients.

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Formidable témoignage que celui que nous livre Alice Diop, qui a posé sa caméra dans le huis clos d'un bureau de soins pour les migrants primo-arrivants.
Elle saisit sur le vif des destins brisés et l'espoir qui renaît grâce à l'engagement d'un médecin plein d'humanité, le docteur Jean-Pierre Geeraert, épaulé de deux psychiatres et d'une assistante sociale, qui reçoit des hommes et des femmes atteints dans leur chair et dans leur âme, dont les blessures sont si profondes qu'elles sont parfois indicibles.
Plaies ouvertes.
C'est à la fin d'un long voyage sur les chemins de l'exil que l'on entre à la Pass (Permanence d'accès aux soins de santé) de l'hôpital Avicenne, à Bobigny. C'est le seul lieu en Seine-Saint-Denis à proposer des consultations gratuites et sans rendez-vous aux migrants primo-arrivants.
Là, les médecins s'apparent à des sauveurs, même si leur action est tout de me^me limitée. Les problèmes de papiers, de logement, de travail ne sont en effet pas traités ici.
C’est pourtant ici, dans ce bureau exiguë que se dénouent des souffrances passées, des blessures aussi bien physiques que psychologiques. On les entend, on les soigne, on prend soin d'eux, et ça c'est tellement rare.
Cela peut remettre un humain sur la voie de la vie.

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Le Dr Bruno Sachs, médecin de petit village, connait tous de ses patients.
Et ses patient,s, que connaissent-ils de lui ?
Albert Dupontel au sommet de son art.

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Quand un médecin est confronté à la maladie de sa mère .... soignée au sein même de l'hôpital où il exerce.
Jérémie Renier est très convaincant.

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Ah le vrai médecin de campagne, à l'ancienne, celui qui connait sa patientèle par cœur, sait écouter pour poser le bon diagnostic, se démène à toute heure du jour et de la nuit pour soigner, remonte le moral, connait le père, la mère, la sœur, le frère, l'oncle, la grand-mère ....
Espèce en voie de disparition malheureusement ...

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Médecins, kinés, infirmières : il faut tomber sur le bon, l’empathique, le non misérabiliste. Celui qui va vous booster, vous redonner de l'énergie pour affronter les épreuves et vous encourager pour que la rééducation soit la plus efficace possible et votre quotidien à l'hosto au centre ne soit pas si terrible.
J'ai remarqué que l'humour et la patience y sont pour beaucoup.

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Le courage, la persévérance des médecins pionniers

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Un docu très émouvant qui relate la leucémie d'une petite fille, fille du réalisateur et de la maman, illustratrice.

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Ils font froid dans le dos le personnel médical dans cet HP.
Plutôt Mister Hyde que Dr Jekyll dans ce cas-là.
La meilleure solution : se barrer, s'enfuir, partir loin de ces tarés.

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Ici, on admire le courage et la maturité de ces bout'chou face à la maladie. Respect messieurs dames.
Les médecins, infirmières, psychomotriciens, aides soignantes, rééducateurs, sont à leur cotés, ainsi que leur parents bien entendu, mais ce sont les enfants qui font les trois-quarts du boulot pour aller mieux, espérer s'en sortir.

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Autre temps, autres pratiques.
La femme était quand me^me identifiée comme ayant des pathologies mentales spécifiques et les médecins neurologues et psychiatres n'étaient que des hommes. Vision patriarcale de la médecine.
Au delà de celà, heureusement, il y avait des être humains.
Mais qui souffrait le plus dans ce contexte ? Evidemment, les femmes ...

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Comment vivre en étant enfermé dans son corps ?
Le lien avec l’orthophoniste sera essentiel à la survie de Jean-Dominique Bauby.

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Le combat contre la vilaine tueur qui envahit la tête de leur enfant.
Là, on loue le savoir-faire des médecins dans cette lutte sans merci.

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Se battre jour par jour, heure par heure, pour renaître à la vie, après un AVC.
On suit leur parcours courageux avec beaucoup d'intensité et d’admiration.

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J'ai trouvé les médecins assez empathiques, pas trop brutaux.
Ils laissent à Martine le choix de rester ou pas, et le temps pour qu'elle se reconstruise.

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à finir

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à voir