Top Films avec James Stewart

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Cukor, Hepburn, Grant, Stewart. Ou bien, comment suffit-il de quatre noms pour assurer le succès d'un film. Cela dit, "Indiscrétions" ne s'en tient pas à un très beau casting, et propose une comédie incessante d'un humour ravageur. James joue ici un journaliste (encore !) qui va charmer l'intouchable et intransigeante Miss Hepburn, et la dérider un peu. Tous les acteurs sont au top, et c'est un régal.

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Un film génial et jouissif du maître Hitchcock, dédié à l'une des passions les plus inavouables de l'homme : le voyeurisme. Jimmy, qui partage ici l'affiche avec la somptueuse Grace Kelly, est un journaliste à la jambe cassée qui observe ses voisins depuis la fenêtre de son appartement. Un délice !

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Non seulement le brave Jimmy partage ici l'affiche avec l'une des plus inestimables contributions allemandes au 7e art, mais il paraît en plus que la romance s'est poursuivie en coulisses... sacré chanceux. "Destry Rides Again" est un western génial, avec une ambiance superbe, des seconds rôles et des scènes hilarantes, et un final de haute volée. À voir !

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Jimmy tourne avec John Wayne et John Ford l'un des tous derniers grands westerns dits "classiques", alors que le genre est en perte de vitesse. Une œuvre magistrale, où Stewart interprète un tout jeune avocat de la côte est qui vient tenter d'apporter la loi dans les régions sauvages de l'ouest.

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Un film de la seconde partie de carrière de James Stewart, où il interprète ici un avocat un peu sur le déclin, qui doit défendre un militaire accusé d'avoir froidement assassiné l'homme qui a battu et violé sa femme. Un drame judiciaire de très haut niveau, avec un grand Jimmy.

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James tourne avec le grand Ernst Lubitsch pour réaliser ce petit chef d'œuvre, un film merveilleux, d'une grande finesse et très drôle. J'y reviens plus longuement dans ma critique, mais c'est, encore une fois, un film super.

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Jimmy et Capra c'est une grande histoire. Moi je préfère quand c'est drôle, plutôt que quand c'est censé être "touchant" ("La Vie est belle" me gonfle un peu). Ici, il n'y a pas beaucoup de défauts, et il y a la géniale Jean Arthur. Jimmy y joue son amoureux, le fils du patron d'une grande entreprise, qui débarque chez des gens plus modestes.

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Western d'Anthony Mann, où l'on s'entretue pour des victuailles pour passer l'hiver... Fermiers et mineurs souhaitent tous mettre la main dessus, alors l'on se doute que le transport de cette nourriture ne va pas être facile ! James y est un ancien as de la gâchette, pillard sur les bords mais qui s'est acheté une conduite. Il y a beaucoup de péripéties - c'est assez fou ce que l'on peut faire en une heure et demi - et tout est plutôt intelligent, ce qui est réjouissant.

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Encore un Capra bien gentillet - la suite spirituelle de "Mr Deeds" - où, cette fois-ci, c'est James Stewart qui prend le rôle principal (il retrouvera Capra pour jouer dans le très guimauve "La Vie est belle"). Jimmy incarne ici un boy scout qui devient sénateur des Etats-Unis. Evidemment, il est plein de bonne volonté et de patriotisme, contrairement à tous ses vieux collègues véreux et corrompus. C'est chouette, mais, heureusement qu'il y a Jean Arthur. La performance de James est toutefois digne d'intérêt.

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Autre western d'Anthony Mann où l'on s'entretue pour une arme mythique, la "Winchester 1873"... un fusil parfait, mais qui cause souvent la mort de son propriétaire, tant il excite les convoitises. James y campe un tireur d'élite, qui pourchasse inlassablement un bandit qui a tué l'un de ses proches.

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Encore un western d'Anthony Mann, où l'on s'entretue pour quelques pépites d'or... Direction le Klondike et les villes civilisées de Dawson et (un peu moins civilisée) et Skagway. Jimmy y est un type plutôt peu recommandable, qui a conduit son troupeau de bœufs en Alaska pour pouvoir le vendre. Sur place, évidemment, il va finir par se mêler de tout ce qui ne le regarde pas.

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James incarne un professeur d'université avec son habileté coutumière pour jouer des bonhommes parfaitement plats et ennuyeux. Il réussit à séduire la pétillante Ginger Rogers, mais, après l'avoir épousée sur un coup de tête, la faire accepter à sa famille s'avère un peu plus complexe...

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Encore un autre western d'Anthony Mann (vous connaissez la chanson), où l'on risque de s'entretuer pour la capture d'un desperado à valeur de 5000 dollars... Un type en apparence inoffensif, mais rusé renard, tant il sait semer la zizanie parmi ceux qui l'ont capturé. Jimmy y est un espèce de chasseur de primes bas du front qui le pourchasse inlassablement. Sinon, à part ça, c'est sympa, huis-clos en extérieur, c'est pas courant. Les dialogues sont un peu cons, et le réalisateur prend son spectateur pour un demeuré auquel il faut tout expliquer, mais moi je suis un peu amoureux de Janet Leigh donc ça passe.

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Un film post-seconde guerre mondiale, où James retrouve Hitchcock. Son rôle est ici infiniment plus torturé, plus sombre qu'à l'accoutumée. Je n'en garde pas un souvenir impérissable, mais "Vertigo" fait partie de ces films que je dois absolument revoir...

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Rien à redire, c'est chouette comme tout. Il s'agit d'une pièce de théâtre qui possède quelques points communs avec "Arsenic et Vieilles Dentelles" - et un ton proche - avec lequel il partage d'ailleurs une actrice : Josephine Hull. James Stewart y incarne un type d'une quarantaine d'années, tout à fait charmant, qui croit dur comme fer que son meilleur ami est un lapin blanc de deux mètres dix avec lequel il boit et discute, lapin qui est par ailleurs invisible aux yeux de tous les autres. Le film est drôle, délicieusement absurde, et totalement hilarant par moments. Il faut aimer la comédie, par contre, les pisse-froids seront sans doute un peu refroidis.

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Une "comédie romantique" gentillette où Jimmy joue un écrivaillon sans le sou (quand il n'est pas journaliste...), qui contracte un mariage blanc avec la sculpturale Hedy Lamarr. C'est léger et sympathique, et Hedy est vraiment très belle.

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Un film que beaucoup révèrent comme le chef d'œuvre ultime du grand Frank Capra. James y livre une de ses prestations les plus abouties, la quintessence du rôle de l'homme moyen qu'il a tant de fois interprété. Par contre, que ce film est niais... Ce final sirupeux est à vomir tant il est lourdingue, et le reste du film est souvent du même niveau. Un peu rattrapé par Stewart et Donna Reed, cela dit.

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Un film où Jimmy joue un second rôle, c'est assez rare pour être souligné... Ici, les vedettes ce sont clairement William Powell et Myrna Loy, et James interprète l'un de leurs amis, un type assez effacé et qui a vu la femme qu'il aimait épouser un sale type (ils étaient fiancés avant, elle n'est quand même pas très gentille...). Si le couple star est super, comme d'habitude, les seconds rôles sont assez mauvais, à l'exception notable du bon Jimmy !

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Un petit film de sorcières avec une Kim Novak charmante (par pitié, oublions sa figure actuelle et rappelons nous de son ancienne beauté...) et un Jimmy un peu effacé. C'est gentillet, Elsa Lanchester est excellente, mais le film n'est pas très inspiré et c'est finalement assez moyen.

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Jimmy en fait dix mille tonnes dans ce film dans un rôle de savant fou complètement inadapté socialement. Scientifiquement, le postulat du film fait mourir de rire, pour le reste, c'est quand même pas passionnant du tout, malgré la présence de Marlene Dietrich.

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Ici c'est un film sur les difficultés du mariage et du couple, avec Jimmy et Carole Lombard. C'est un peu long et plein de défauts, même s'il y a quelques bons moments. Loin d'être prioritaire pour qui voudrait découvrir la filmographie de l'immense James Stewart !