Un réalisateur : David Fincher

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Un bijou d'écriture, de réalisation et d'interprétation, une splendeur technique entre le montage, la musique et la photographie. Bref, les superlatifs ne sont pas de trop pour qualifier The social network. Un chef-d'oeuvre direct, fabuleux et sophistiqué.

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En même temps glacial, désespéré et intelligent, Seven est un film qui semble complètement insensible aux années qui passent. Avec son final d'anthologie, monstrueusement logique, on tient toujours un monument inoubliable du genre.

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Un petit exploit dans la mesure où Zodiac est un film où le spectateur est lui-même un enquêteur. On a follement envie de savoir qui est le meurtrier. Pas besoin d'énumérer aussi ses qualités évidentes : l'ambiance, la réalisation, le rythme, l'interprétation, tout est brillant.

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David Fincher a de nouveau parlé, tout en embrassant de nouveaux thèmes comme la machine médiatique et la vie de couple. Un bon vrai drame où Rosamund Pike est captivante, un thriller excellent auquel j'en suis sorti sonné. Encore merci monsieur Fincher.

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2h30 qui passent comme une lettre à la poste. David Fincher livre un film nauséeux, haletant, excellentissime dans sa mise en scène et assez probant dans la fusion de deux personnages opposés (Daniel Craig et Rooney Mara sont fantastiques). Un thriller qui m'a conquis.

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Offrant à Norton le rôle le plus magnétique de sa carrière, Fight club brasse les thèmes de la société de consommation et de l'anarchie avec une efficacité mémorable. C'est trash dans les propos et dans les actes mais c'est sensé et surtout réalisé avec génie.

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Mise en scène stylisée, une caméra qui se balade partout alors que 90 % du film se déroule dans une maison. Le fond est peut-être moins pertinent que d'habitude pour un film de Fincher mais ça reste quand même un sacré bon thriller.

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Rappelant à certains moments le premier film, Alien 3 est glauque comme il faut ; décors et personnages crasseux, criant de noirceur (le final est beau et triste). Ripley est plus iconique que jamais et quelle ingénieuse idée l'Alien en caméra subjective.

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Suspense ambiant, musique ambiante, Michael Douglas porte le film à lui tout seul (il est dans toutes les scènes), The game est un thriller assez atypique, y compris sa fin qui fait sens mais qui semble en effet tiré par les cheveux.

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Un film bien trop long pour moi, j'ai eu du mal à rentrer au début, surtout qu'il y a des cassures dans le rythme. Mais la fatalité de l'histoire cloue vraiment sur place, ça a beau être fantastique, c'est terriblement triste. Pitt et Blanchett forment un couple du feu de dieu.