Un réalisateur : Steven Spielberg

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Quel film grandiose. Mon préféré de Spielberg. C'est dément comme on est immergé dans l'histoire et comme on vit absolument tout à travers les yeux de James (Christian Bale extraordinaire). Un film dantesque de par ses diverses émotions contagieuses.

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Les aventuriers de l'arche perdue c'est le film où le plaisir est infini, à chaque revisionnage c'est toujours le pied. C'est d'un panache inégalé, chaque scène est délectable. Et quelle introduction, Spielberg iconise Indiana Jones comme c'est pas permis.

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Entre l'introduction rebondissante, la scène extravagante du dîner et toute la séquence finale entre poursuites et combats, c'est l'Indiana Jones où je bondis le plus souvent de mon siège, et ce malgré sa petite noirceur. Et j'adore Willie. Un véritable festin d'aventure.

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3h15 et pourtant, on ne sent pas les minutes passées. Un film aussi indispensable que choquant, marqué d'un larmoyant exigeant et d'une mise en scène qui n'établit plus de frontières entre la fiction et la réalité. L'oeuvre prépondérante de Spielberg. Bouleversant.

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Plus familial, ce troisième opus multiplie les morceaux d'anthologie grâce à une très bonne répartie entre humour et action, il y en a partout et ça ne s’essouffle jamais. Cette trilogie me procure vraiment des moments d'extase, en particulier quand son thème résonne.

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Entre thriller historique et film politique, Spielberg livre plus une vision que des faits. Je me suis pris une claque dans la gueule avec Munich, le climat est oppressant et il y a un sacré travail de reconstitution, de casting et d'écriture. Magnifique mais un poil déprimant aussi.

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Entre quête mystérieuse et drame familial, Rencontres du troisième type fait partie de ses classiques indémodables grâce à une magie toujours intacte et des effets spéciaux (surtout la séquence de fin) étincelants. Un film qui laisse incroyablement rêveur.

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Aussi lent qu'angoissant, il est impossible de nier l'apport conséquent au cinéma des Dents de la mer. Véritablement exemplaire dans son crescendo, le film pose de grands enjeux tout en restant étonnamment simple dans sa construction narrative. Gros classique.

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Passé la fameuse introduction à vous déloger la mâchoire, Il faut sauver le soldat Ryan prône des valeurs avant tout universelles que Spielberg retranscrit parfaitement dans ses situations et ses personnages. Quand le cinéma vous plonge corps et âme.

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Duel ou la plus grande poursuite de tous les temps. Comment on peut faire un film d'1h30 en restant sur un seul conducteur ? Cela s'appelle le talent ! Les montées en puissance se succèdent dans ce film qui relève du petit exploit.

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Jurassic Park est indestructible, dans 30-40 ans ses dinosaures seront toujours aussi effarant qu'à sa sortie. Bien qu'un peu rouillé pour démarrer, le film nous assomme de scènes d'attaque toutes plus frémissantes les unes que les autres. A vous clouer sur place.

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Bien plus qu'un film de science-fiction, E.T. est le film ultime sur l'enfance. On trouvera toujours à redire sur comment Spielberg force trop son message humaniste, mais on est séduit. Et la fin, si son but est d'être un tire-larmes, eh bien c'est réussit haut la main.

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Un Spielberg d'une force sidérante, quelques clichés autour du père et de son fils mais dans l'ensemble, c'est un film extrêmement puissant, d'effets spéciaux prodigieux, d'un sens de la tension maîtrisé et avec une image écorché de l'Homme. Tom Cruise y est remarquable.

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Un film que j'ai beaucoup aimé de par son rythme et sa construction, j'ai totalement accroché à la dimension presse vs. gouvernement et évidemment Tom Hanks et Meryl Streep sont du caviar. Steven Spielberg ajoute ainsi à son tableau de chasse un excellent et intéressant drame journalistique.

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Une comédie aussi loufoque que destructrice qui nous rappelle aussi que Spielberg peut se frotter à n'importe quel genre. Bien que surjoué et surenchérit en dégâts, le côté barré de 1941 m'a énormément plu, tout peut arriver dedans et ça n'a jamais froid aux yeux.

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Un film que j'ai appris à réévaluer avec les années, Spielberg ne fait jamais dans le déballage visuel et préfère un contenu subtil et intéressant (notez l'absence de couleurs vives) au service d'une intrigue qui envoie du lourd.

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Une comédie d'un charme indéniable, qui vaut le détour rien que pour l'ambiance parfaitement retranscrite des 60's. Mais au-delà de ça c'est aussi l'histoire assez incroyable d'un arnaqueur (campé par un Dicaprio fabuleux) sous l'oeil aseptisé de Spielberg.

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Dans une orgie de références qu'il arrive à justifier, Steven Spielberg manie sa caméra sans aucune limite, le maître sait s'amuser et sait nous amuser. Des séquences virtuoses, une histoire assez basique, un message assez clair et d'actualité pour des années, un film littéralement évasif.

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Espionnage, URSS, avocats... ce film aurait pu être une tannée, mais entre les mains de Mr. Spielberg c'est clair, c'est concis, c'est propre. Le récit est toujours focalisé, Tom Hanks est à son aise, Steven Spielberg est encore très en forme avec sa caméra.

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Juste après Duel, encore une sorte de road-movie pour Spielberg, en moins haletant mais en plus décalé. La proportion que prend l'intrigue est folle, ça permet même de souligner un point de vue satirique sur la police Texane. Un film étonnant et limite amusant.

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Une transposition (sombre) du conte de Pinocchio, aux visuels soignés, aux thématiques travaillés, avec des changements de ton qui font assez froid dans le dos. Les 30 dernières minutes sont spéciales, on sent l'influence de Kubrick. Je ne me précipiterais pas pour le revoir.

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Des enjeux beaucoup plus intéressants que les personnages, car si Daniel Day-Lewis est très professionnel en Lincoln, ses scènes se répètent entre les longs silences et ses monologues. Mais les joutes verbales sont du grand art et c'est très centré comme film.

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Malgré le travail phénoménal sur la motion-capture, Tintin souffre d'un scénario creux, comme si le film était un enchaînement de scénettes. Mais Steven Spielberg s'amuse avec des séquences techniquement impossible dans un film normal (la poursuite en plan-séquence).

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Spielberg toujours là où on ne l'attend pas, j'aurais beaucoup des choses à redire sur Le terminal ; ses longueurs, la storyline avec l'hôtesse un peu cul-cul la praline mais globalement c'est tendre, on vit littéralement dans ce terminal et c'est même touchant.

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Traiter de la Guerre du point de vue d'un cheval, peu en auraient tiré quelque chose mais Steven Spielberg l'a fait avec la formule naïve mais néanmoins touchante qu'on lui connaît. Des beaux plans mais des longueurs et un peu de mielleux.

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Sans mal l'épisode le plus inepte de la saga. Malgré ce retour en terrain vite familier, le film parle plus qu'il n'agit et subit un enchaînement trop saccadé. Quand bien même, la réalisation de Spielberg est toujours un régal et Labeouf apporte une réelle fraîcheur.

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Bien qu'incapable de se hisser au niveau du premier, ce deuxième Jurassic Park a son lot de séquences qui ont fait la popularité des dinosaures ; ils sont encore et toujours effrayant à chaque apparition. Mais ce que le film gagne en mercantile, il le perd en savoir-faire.

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J'avais aimé quand j'étais môme, sans le renier totalement c'est là où on se rend compte que Hook est cette partie enfantine de Spielberg qu'on a du mal à pleinement accepter dans un film. Ce n'est pas loin d'être très niais quand même, même si ça m'avait amusé.