Vu au cinéma en 2019

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Vaine critique pour un film qui ne l' est pas . https://www.senscritique.com/film/Once_Upon_a_Time_in_Hollywood/critique/185410207
A Cannes deux films étaient brillants, celui de Tarantino et celui de Bong Joon-ho, la palme revint au plus marxiste, au plus "facile" des deux.

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18/02 Kitano porte la résilience par l'art à un sommet, les images suppléent aux mots qui ne peuvent dire la douleur, la perte, l'absence, le vide...

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11/02

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Brillant exercice de style, démonstration socio-politique et artistique, un peu trop parfaite, trop calculée pour être un chef d'oeuvre.

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novembre.

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10 mars, un magnifique film choral et fluide sur le pouvoir résilient des mots, et celui es autres quand ils nous écoutent.

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1er novembre, coup de coeur pour ce film baroque, audacieux, poétique et vibrant, transcendé par l'interprétation de Lucas Marinelli.

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2 aout

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27 janvier, un regard contemporain et empathique sur l' Amérique d'hier, hélas toujours encore un peu aujourd’hui...Acteurs brillants, image soignée, style académique maîtrisé. Que demander de plus quand on nous laisse si souvent sur notre faim...

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24 juin. Vu avec Pauline. Le film d 'un grand artiste mais aussi d'un homme affaibli qui a perdu de cette folle énergie qui électrisait ses films. Des tableaux inoubliables ponctuent cette oeuvre.

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9 mars film éblouissant, hommage inspiré au cinéma français qui a nourri les rêves de cinéma du Maître ( Grimault, Belmondo, De Funès !)

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10 novembre

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6 avril, belle et digne Sibel émeut.

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9 novembre, la note ne veut rien dire, la place ne dit pas la valeur que j'accorde à ce film dans mon palmarès, mais son importance.

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Le montage non linéaire, forme une spirale qui nous aspire lentement vers l'émotion, elle naît hélas presque uniquement de notre compréhension, malgré un duo d 'acteur/trice exceptionnel . Ce film est le fruit d'une longue(sic ) et profonde réflexion sur sur cette periode décisive pour la Chine 1979-2015 où la croissance économique se bâtit sur le diktat de l' enfant unique, le trésor qu'il s'agit de ne pas perdre, la dialectique individu/collectif noue le film .

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25/10, plus que jamais nécessaire.

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Un film virtuose , l'envers du décors de la politique filmé comme un thriller, un film de survie dans la jungle en costume trois pièces et rien à perdre.

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14 novembre, les acteurs sont époustouflants, la mise en scène sobre et classique sert autant l'Histoire qu'elle est à hauteur d'hommes.

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Un hymne sincère au théâtre et au cinéma, à la création et le désir qui la sous-tend, au courage qu'il faut.. une bel enchâssement Cyrano/ Roxane/ Christian à l intérieur de Edmond/ Jeanne/Léo, mais... des facilités aussi de scénario, un excès de rebondissements pour en combler le "vide", du boulevard qui pollue le génie et l'émotion, de l'anachronisme qui écorche les oreilles voire les yeux ... Sauvé par Gourmet, quelques autres acteurs et le génie de Rostand. 6,5 /10

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3 mars. Le début et la fin sont très réussis bref quand on est dans les sous-marins et que l'on guette les sons avec "chaussette" on est pris aux tripes de ce chant du loup...Entre les deux, autrement dit ce qui se passe à terre est un ventre mou scénaristique qui ne vise qu'a à "humaniser" les personnages et créer les nœuds de l'intrigue finale, non sans abus de "machinerie"... Un premier film prometteur, il faut le dire!

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les rendez-vous de l' histoire à Blois, l' Italie...

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10 novembre, une voix, un homme qui savait faire passer l émotion comme personne ...

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De beaux moments mais le cinéaste semble incapable de créer une tension brisant la linéarité de son récit qui parvient à nous attacher malgré tout à l' énigmatique Asako. Il s'arrête là où tout aurait pu commencer... Une scène à quatre personnages m'a emporté.

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9 février. Malgré des maladresses de scénario, le film fait mouche en démontant les rouages de la cours d'assises à la française . Le doute raisonnable face à l'intime conviction, l' erreur judiciaire tient à un fil, ténu, celui de l' avocat?

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26 septembre, pour les amoureux du cinéma allenien et/ ou de l' âge d'or hollywoodien tel qu'il n'a jamais existé ou si peu , Lubitsch excepté.

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30 juin fête du ciné. Encore et toujours les jouets, la fête foraine, trois fois rien pour clamer l' enfance en nous comme ultime rempart contre la lâcheté.