Beyaz Kale
1985
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Le narrateur est un Italien de vingt ans, féru d'astronomie et de mathématiques. Capturé par des marins turcs et jeté dans la prison d'Istanbul, il se dit médecin, et est offert comme esclave à un hodja, un savant. Le maître oriental et l'esclave occidental se ressemblent de manière effrayante, éprouvent une méfiance immédiate l'un pour l'autre. Mais ils ne se séparent pas, vivent ensemble, travaillent ensemble, quotidiennement, d'abord sur la pyrotechnie, ensuite sur une horloge, enfin sur une... Voir plus
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Critique de Le Château blanc par Hunkarbegendi
Le Château blanc (Beyaz Kale) est le troisième roman d'Orhan Pamuk. Il succède à Cevdet Bey et ses fils et La Maison du silence et précède Le Livre noir. Il a été publié en 1985 et a été publié en...
le 1 févr. 2024
2 j'aime
Plutôt neutre sur cette turquerie
C'est un ouvrage qui a quelques passages intéressants. Je n'ai pas été emporté par la narration, tant le style est neutre... Est-ce la traduction française ? J'ai aimé certains passages sur la...
Par
le 10 nov. 2012
2 j'aime
2
Le chateau de sable blanc
Déçu pour la première fois avec Orham Pamuk. Il s'agit d'une étrange petite chose, une sorte de Léon l'africain à l'envers, un jeune vénitien est capturé par des turcs, et s'ensuit un récit sans...
Par
le 26 sept. 2017
1
Un simple double
C'est avec curiosité que je me suis plongé pour la première fois dans une oeuvre d'Orhan Pamuk. Le thème a tout pour me plaire : une dose d'Histoire, d'Italie, de batailles navales, de visions...
Par
le 5 mars 2017
2
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