Fan de Jennifer Connelly, je m'attaque à ce John Connoly après avoir lu cette année du Michael Connely et avant de lire du R.J Ellory (à ne pas confondre avec du J. L. Elroy) dont la première de couv' est vivement conseillée par... Michael Connely.
Je vais donc m'employer à ne pas me mélanger les pinceaux.
Les pinceaux justement, l'Irish les a largement trempé dans les teintes sombres et qui tâchent. Ca colle aux dents comme on dit. Ou comme on essaye de dire... (Ben ouais parce que quand on a un truc collé dans les dents on articule pas super bien quand même).
Bref, l'ambiance est glauque, c'est ce que je voulais dire (dès qu'on prend comme décor la Nouvelle Orleans et le Bayou faut dire...).
Glauque mais pas que. Parce que le Charlie Parker, alias Bird, a de l'humour. Un bon humour bien sarcastique et grinçant qui assaisonne une histoire un peu tortueuse et légèrement trop emberlificotée à mon goût.
Pas grave, on pardonne. Comme on pardonne le peu de crédibilité de la révélation finale. Parce que c'est vrai que ça se lit quand même comme du petit lait.
Comment ça ça veut rien dire de lire du petit lait ?
Je m'en fous.
En plus d'être très jolie, elle écrit super bien cette Jennifer Connelly...