Il y aurait tant à dire sur Bankgreen. Singulier, contemplatif, visuel, sans concession, traversé par des personnages comme des épures sur un palimpseste. La vie, la mort, entre les deux le choix (marrant que celui-ci arrive à la fin. Trop tard ?).
Je n'ai pas trouvé Bankgreen "noir". J'ai plutôt ressenti une sorte de lucidité douloureuse. Une détresse existentielle mais en même temps une certaine joie de vivre (faut pas déconner).
Excellent le principe d'adoucir la mort. D'habitude, c'est la vie que l'on cherche à adoucir. Mais là, c'est logique.
Bref, je surinterprète sans doute. Je suis certainement lapidaire. Toutefois, j'ai bien aimé le voyage en définitive.
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