Only God Forgives.
La troisième guerre mondiale. L'apocalypse nucléaire qui ravagea la Terre. C'est l'oeuvre de Carleton Lufteufel. C'est cet homme qui appuya sur le bouton rouge et qui décima 90% de la population...
Par
le 8 juil. 2013
5 j'aime
1
Sacré livre! Complètement psychédélique, barré et mystique. Pourtant il reste très facile à lire, le style d'écriture est classique, il est plutôt barré dans ce qui se passe au niveau de l'histoire.
Je n'ai pas encore eu le plaisir de lire Zelzany (j'ai les premiers tomes des Princes d'Ambres en réserves). En tout cas sa collaboration avec K.Dick a donné une merveille. Ce qui m'a plu dans ce livre c'est qu'il est à la fois très divertissant et qu'il donne aussi lieu à nombre d’interrogations et notamment sur la foi. Bien que je ne sois pas croyant, c'est une question qui m’intéresse: d'où vient-elle ? n'est-elle pas juste la retranscription d'une époque ? Ainsi, l'Eglise de colère apparaît après la catastrophe nucléaire, ou il semble absurde de croire en un Dieu bienveillant. Et le dieu de cette dernière est un individu lambda, son geste Divin a été d'appuyer sur un bouton qui à conduit à l'apocalypse. Enfin, dans qu'elle mesure peut-on se faire manipuler par celle-ci ?
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs livres de science-fiction
Créée
le 27 sept. 2021
Critique lue 26 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Deus irae
La troisième guerre mondiale. L'apocalypse nucléaire qui ravagea la Terre. C'est l'oeuvre de Carleton Lufteufel. C'est cet homme qui appuya sur le bouton rouge et qui décima 90% de la population...
Par
le 8 juil. 2013
5 j'aime
1
Cela devait arriver. La guerre a détruit la planète à coup de bombes et d'armes chimiques. L'Apocalypse a eu lieu et son auteur porte un nom, Carleton Lufteufel. Quelques dizaines d'années plus tard,...
le 31 mai 2023
1 j'aime
Soit il vous parle, soit il ne vous parle pas, je pense. Sur une Terre entièrement pollué par une arme de destruction massive atomique, lancée par Carleton Lutfeufel, l'ancien Christianisme est...
le 16 oct. 2018
1 j'aime
Du même critique
Je viens de découvrir Franco Piavoli, cinéaste artisan de Lombardie, avec ce film. Une très chouette découverte ! Le film dévoile la vie d'un village à travers le temps. Ce n'est ni un documentaire,...
Par
le 15 avr. 2018
6 j'aime
Relecture des Chasses du Comte Zaroff made in bimbos dans l'espace, Slave Girls est un petit film qui plaira aux amateurs du genre. Comme on peut s'y attendre le scénario est ballot, les décors tout...
Par
le 3 févr. 2018
4 j'aime
Le cerveau qui ne voulait pas mourir sans casser des pattes à un canard se révèle être un petit bis du cinéma des années 50 sympathique. Le personnage du docteur fait immédiatement penser à celui de...
Par
le 21 janv. 2018
4 j'aime