Après avoir lu une annonce sur une jeune fille disparue dans un journal datant de la guerre, le narrateur (l’auteur ?) devient obsédé par cette fille : Dora Brüder.
Cette jeune adolescente juive a fugué du couvent où elle étudiait. Le narrateur cherche alors à retracer sa vie et éventuellement sa mort.
Dans le livre, Modiano déambule dans ce Paris de la Seconde Guerre Mondiale, ce Paris qu’il aime et qu’on retrouve dans presque chacun de ses romans. Il rattache la vie de cette jeune femme à celle de son père, également juif. Par ce biais, cette enquête devient également la quête de son propre passé.
Je me suis ennuyée durant la lecture, j’ai vraiment eu l’impression que l’auteur se répète d’un roman à l’autre. Ses livres se suivent et se ressemblent.