Lu par curiosité, après avoir vu le film "Mademoiselle" de Park Chan-wook.
Peut-être n'ai-je pas assez attendu ? Pendant les deux tiers du livre, je me souvenais trop bien de l'histoire, y retrouvant tous les éléments du film. La comparaison entre l'Angleterre victorienne et la Corée sous domination japonaise est cependant intéressante. Pour moi, le style écrit de Sarah Waters n'a pas la pouvoir évocateur qui aurait pu égaler le charme vénéneux qui se dégage des images de Park Chan-wook. La bibliophilie érotique de l'oncle et les séances de lecture de Mademoiselle ont moins de force que dans le film.
Par contre, la fin n'est pas du tout la même que dans le film, et j'ai apprécié de découvrir une autre histoire