Alors voilà... Un jour, comme ça, sans prévenir, je me dis que la fantasy anglo-sasonne, c'est bien, mais quid de la fantasy française... Du coup, merci Elbakin, je commence Gagner la guerre... Bein alors M*** (avec un grand M !) pour trouver mieux, je vais galérer à mort !!
Gagner une guerre, c’est bien, se maintenir au pouvoir et déjouer les convoitises des pilleurs de butin, c’est mieux… Et c’est plus facile quand est Leonide Ducatore, podestat de la République et qu’on a Benvenuto Gesufal l’assassin dans sa poche ! Mais est-ce bien sûr ? Un assassin est un électron libre et qui vous dit qu’il s’en tiendra aux ordres ?
De la gouaille, du style, une langue savoureuse, un héros que l’on adore détester, des rebondissements en cascade et un brin de magie, tout ça fait un merveilleux roman d’aventure dont personne ne ressort indemne !