J’ai terminé ce livre depuis une bonne semaine, et j’attendais deux choses avant de la chroniquer : voir l’adaptation cinématographique et savoir réellement ce que j’ai pensé de cette lecture. J’ai vu le film, j’ai beaucoup aimé, car c’est une ambiance qui se retranscrit sublimement à l’écran. Ces fêtes, ces décorations, ces tenues : tout est flamboyant et parfait pour le grand écran. L’histoire a été très bien retranscrite, et j’ai trouvé le montage délicieux.
Je ne sais pourtant pas ce que je pense de ma lecture. Le début m’a laissé de marbre, et si je suis honnête, l’écriture aussi, à quelques passages près. J’ai grincé des dents devant certains passages et certains dialogues, et j’ai été agréablement surprise par d’autres. Il y a sans conteste des sujets intéressants qui sont évoqués, mais je les ai trouvés trop superflus, pas assez prenants, pas assez incisifs.
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C’est surtout la fin qui m’a plu. Je ne m’attendais pas à ça, tout simplement. Et la surprise est un plaisir incroyable lorsqu’on est face à une œuvre d’art. Malgré toute l’ampleur du livre, de son adaptation, et même, malgré l’immense spoiler de la quatrième de couverture -que j’ai soit effacé de ma mémoire, soit jamais lu- : je ne savais pas que cette histoire finirait comme ça. Ce sont ces derniers chapitres qui m’ont plu, mais qui n’ont pas été suffisant pour faire de ce livre la belle découverte que j’attendais.