Zola, je t'aime.
Voilà pour le cri d'amour.
La description de la société des mineurs est sublime, mais c'est Zola alors c'est normal. Cette tentative de révolte contre le système m'a beaucoup touchée, le tout sur fond de romance désirée, à peine effleurée. L'opiniâtreté de la Maheude, et toute cette grande famille durement frappée par la mort, c'était grandiose. Les rivalités entre les fosses, les détails pointus qu'offre Zola, c'est l'œuvre d'une vie. J'admire.
Je doute de retrouver une si grande beauté dans les autres romans du cycle des Rougon-Macquart, mais ne désespérons point.
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