Ce 1 (qui s'est changé en 10 suite à l'exaspération des protecteurs éternels de Tolstoï, qui n'a pas franchement besoin d'eux au passage) n'est pas un jugement qualitatif sur l'œuvre mais une réaction à l'impossibilité personnelle de finir ce livre.
J'ai pourtant essayé cinq fois, oui cinq... Et je retenterai le coup c'est certain. Parce que le peu que j'ai lu me plaît (oui je sais, l'asile psychiatrique c'est à deux kilomètres sur la gauche après le rond point en forme de poire, au niveau du kiloutou orange) mais à chaque fois, à peu près au même nombre de pages, mon esprit fragile se déchire et le livre retourne sur l'étagère entre Tchekhov et Dostoïevski.
Du coup je connais quelques passages quasi par cœur et ils hantent mon cervelet gauche imprimant d'irrépressibles signaux nerveux activant cette chose somme toute assez pénible qu'est la culpabilité.
A bientôt, après la nouvelle tentative.