La grandeur et le déclin de Détroit. La Motown des Supremes et les tours du Brewster Project. Courir devant et être rattrapé par le déterminisme social, le racisme et le capital. J’ai beaucoup aimé.
Créée
le 28 janv. 2021
Critique lue 160 fois
D'autres avis sur Là où nous dansions
Detroit, 2013. Un corps est découvert au pied de l’une des tours abandonnées du Brewster Project. Un jeune homme assassiné à l’identité inconnue. Il n’est qu’une victime de plus au milieu d’une ville...
le 11 mars 2021
1 j'aime
Dans son dernier ouvrage Là où nous dansions, paru aux Éditions Payot et Rivages, l’écrivaine et journaliste Judith Perrignon dévoile la fresque sociale et historique de la ville de Détroit, giron de...
Par
le 14 juil. 2021
Dans son nouveau roman Là où nous dansions, Judith Perrignon raconte l’histoire des premiers logements sociaux pour les noirs aux États-Unis à partir de la vie de ses habitants. C’est l’occasion...
Par
le 24 févr. 2021
Du même critique
C’est fascinant de lire toutes les critiques des hommes qui s’époumonent. Je l’ai aimé ce livre, il vulgarise a destination des hommes (en tant que corps social, de genre, cf : La pensée...
Par
le 28 oct. 2020
9 j'aime
20
On n'est plus dans le documentaire mais dans la réalité scénarisée... Ce traitement de l'Histoire banalise Hitler plus qu'il n'explique sa "résistible ascension". Les archives sont colorisées,...
Par
le 27 oct. 2011
7 j'aime
6
Walter Benjamin met en perspective Théâtre et Cinéma ainsi que Peinture et Photographie mettant en oeuvre la transition qui s'articule entre ces quatre arts et l'impact de la reproduction à l'infinie...
Par
le 6 mai 2011
7 j'aime
1
