Récit court, et tant mieux car ça m’a permis d’aller au bout, par curiosité.
Je dois reconnaître à Charles Juliet qu’il choisit ses mots avec soin, que la lecture est fluide, et qu’il dépeint avec une grande justesse la détresse de la dépression, tellement juste que la lecture est quand-même assez déprimante…
Or je ne suis pas fan de livres déprimants.
Par ailleurs,j’ai été assez dérangée par le style narratif, à savoir l’emploi du « tu » alors qu’il parle de sa mère (Bon, pourquoi pas…) mais aussi lorsqu’il parle de lui-même (!) dans la 2eme partie autobiographique.