Quand la détresse émerveille
On m’avait recommandé Lambeaux, en me faisant simplement lire l’avant-propos de l’auteur. Trois-quatre pages, et j’étais déjà séduite par la poésie du langage de Juliet, presque envoutant. Et puis le...
Par
le 28 mai 2013
19 j'aime
8