Ayant eu vent du talent de Ranpo Edogawa en terme de roman policier, j'ai acheté "Le lézard noir" immédiatement après.
Quel ne fût pas ma déception. Ce polar que je trouve très court ne laisse pas le temps au lecteur de s'imprégner des personnages et la fin est incompréhensible. En comparaison des maîtres occidentaux que sont Conan Doyle et Christie, cela en est presque risible.
Pourtant, grand fan de la culture japonaise, je ne crois les japonais plus stupides que les européens en matière de polar. J'en reviens donc à accuser la traduction, qui n'est sans doute pas aisée, d'avoir gâché le potentiel de ce roman.