Figaro s'apprête à se marier à Suzanne, mais c'est compter sans le goût de l'intrigue du comte Almaviva. Si ce dernier, patron de Figaro, organise les noces dans son château, il souhaite prendre la promise, qui travaille pour sa propre épouse, pour maîtresse. Or le nobliau a pourtant aboli le droit de puisage sur ses terres. Après le Barbier de Séville, les intrigues reprennent donc bon train dan s cette "Folle journée", comme la pièce est intitulée. La société d'Ancien régime, ses moeurs, son système inégalitaire sont passés au crible, sous le tour comique et quasi-burlesque de la farce, qui s'avère donc bien sarcastique. Elle se montre ainsi assez réjouissante.