Connaissant Huxley comme il est connut, donc de par ce livre, je pense être au bout de quelque chose. De ce que j'en sais, c'est un écrivain prolifique, dont le meilleur des mondes n'est qu'une des incarnations qu'il a fait de l'existence.
Je dois dire, peut être, que son style pourrait me plaire, dans un autre contexte, d'un autre façon, et surtout, dans un but plus pure.
On juge souvent 1984 comme un roman qui n'est serais pas un, un manifeste déguisé. J'ai posé un avis dessus, qui vaux ce qu'il vaux. Ici, c'est surprenant l'abstraction qu'il faut réunir pour voir un livre sur le totalitarisme.
En premier lieu, le roman, j'ai fondamentalement détesté tout ce qui est mit esthétiquement en oeuvre. Si j'ai envie qu'un homme détestable, inférieur, me prenne de haut en exhibant son manque de goût, j'ai bien des jeux videos en ligne, voir discord, voir twitter.
En style, rien à mon goût ne va, tout, TOUT, est verbalement, non pas exprimé, mais explicité par les personnages. 1984 pouvais se targuer de bon mot, de phrases marquante ou de scènes qui saisissais quelque chose de l'ordre de la réalité, dans l'exploration du possible. Dans un registre politique plus proche, Ravage se dotait d'une force plus direct, une promotion du nazisme par la violence, par la figure de l'homme pure contre la décadence, et cela marchais - je précise que je conspis ces idées, mais je rends compte que le livre les incarnent parfaitement.
Non huxley lui, prend le chemin des explications, des parallèles forcés - techniquement, quand on incarne deux choses dans un livre, même chez un auteur, cette proximité suffit à créer un lien esthétique. Non, ici, on explique, on force, on force, on fooooooooooorce, au delà que cela passe ça trépasse. Un chapitre entier, fait un parallèle déjà forcé - on alterne, tout le temps, en paragraphe espacé (il ne faudrait pas que cela se mélange, non il faut que le lecteur reste bien guidé dans LA direction). C'est un exemple, mais huxley s'en cogne du réel, il s'en cogne du livre, ce qu'il importe, c'est que l'idée politique en soit soit comprise et ingurgité. Mais ce n'est pas comme cela que ça marche ! C'est un livre qui prônent un monde à suivre en exagérant ce qu'il ne faut pas faire... Mais ce n'est pas comme cela que ça marche !
autant dire que la, oui, n'importe quelle essais eu été plus efficace et respectueux de l'art, tout eu été posé clairement... Enfin, je dis ça, mais quelque personne ne comprends pas l'idée politique derrière.
Puisque personne ne m'a jamais évoqué le style de l'auteur. Pour moi c'est médiocre, je n'ai aucune page a sauver, c'est juste des mots qui resplice une fonction idéologique.
Et l'aspect politique, dont, PERSONNE ne parle ? Bon, je ne vais pas faire tout le livre, l'intro en parle très bien. Il explique que le monde est décadent :
" Aujourd'hui il n'y a que des nationalistes de droite et des nationalistes de gauche, ce qui cause tout le maux de la terre, le nazisme, le bolchevisme, l'inflation, la quasi-famine universel.
Les homme devrait vivre en communauté pour enfin tendre vers dieux, l'unité du Tao et le Logos immanent - La Revolution Véritablement Révolutionnaire ne se fera pas par la politique ou par le monde extérieur, mais dans l'âme humaine.
Pour cela il faudrait plus de Conservateur, des hommes qui font des guerre humaines (ou l'on tue, mais dans le respect de l'autre) - ils tuent pour préserver le monde.
Ceux, enfin celle, qui baise sans être marié, sont comme des chiennes dont on renouvellerais le permit de possession.
je précise que si vous pensez que son livre n'est pas un bon roman, c'est parce que vous êtes pour la bombe atomique et les morts japonais.".
Je précise, que je reprends les mots. Surinterprétation ? C'est, UNIQUEMENT, dans la préface. La, c'est lui qui parle directement de ses idées au lecteur, pour préparer au meilleur des mondes, ce monde horrible où l'on ne souffre pas pour chercher dieu, ou l'on est libre dans ses rapport sexuel, et ou le gouvernement vous controle parceque... Parcequ'il vous controle, hhhouuuuu ça fait peur.
Bon, je pourrais commenter le livre pendant 30 pages, mais, je le trouve esthétiquement nul, les idées sont explicité et non incarné, et les idées en soient prêtent a vomir... Ne lisez pas ça.